Le Musée du Vin, Paris

mdvCela faisait quelques temps que nous n’avions pas tourné une page gastronomique sur ce blog.

Back to basics, nous faisons donc une petite trêve de geekerie en tout genre pour faire une halte gustative haute en saveurs bien de chez nous au Musée du Vin de Paris.  Autant le dire tout de suite, ce billet n’aura pas vocation à vous faire devenir des oenologues au nez fin, notre présence au Musée du Vin avait principalement pour objectif de découvrir le restaurant gastronomique plutôt que de faire la tournée des caves.

Un lieu à noter dans vos carnets d’adresses ? C’est ce que nous allons voir dans la suite.

Bien que nous nous attacherons plutôt à la partie gastronomique du Musée, cela ne m’empêchera pas pour autant de vous préciser que le musée en lui même ne casse pas trois pattes à un canard : c’est une jolie et typique cave basse de plafond avec pas mal de spécimens de bouteilles qu’on ne trouverait nulle part ailleurs mais le tour (qu’on fera tout seul, sans instructions particulière) est bien vite bouclé et le tarif normal d’entrée (11,90€ pour un adulte) ne nous semble clairement pas justifié.

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Attardons nous un peu plus sur le restaurant « Les Echansons », restaurant directement rattaché au musée, construit au coeur d’anciens celliers du XVème siècle. A noter que le restaurant est ouvert uniquement le midi (de 12h à 15h) et que l’entrée à l’exposition est offerte pour tout déjeuner au restaurant du musée.

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La carte propose une cuisine traditionnelle française raffinée où, Musée du vin oblige, plus de 300 références de vins pourront accompagner vos plats sur les conseils des sommeliers professionnels.

Lors de notre visite dans le cadre d’une soirée privée, nous avions droit à un menu un peu particulier, équivalent au menu Dionysos (37 € par personne) de la carte traditionnelle (Entrée / Plat / Dessert / Café).

En entrée, foie gras avec sa gelée aux fruits rouges, boule de glace litchi et tartines briochées. En plat principal, magret de canard et son écrasée de pommes de terre. Et en dessert, je ne saurais mettre un nom exact à ce que j’ai pu manger. Une sorte d’entremet poire/chocolat qui n’a sûrement pas été apprécié à sa juste valeur après un repas copieux et quelques bons verres de Gaillac. Mieux que des mots, place aux photos :

 

 

Ce qu’il faudra retenir au final : un musée qui ne mérite pas forcément le détour (voire même attrape touristes quand on lit les avis anglophones sur TripAdvisor), on le visite pour l’ambiance cave à vin à la française mais aucune explication ni visite guidée digne de ce nom ne semble être proposée aux visiteurs. Quant au restaurant, on y mange et y boit plutôt bien même si le rapport qualité de service et qualité des mets / prix n’est pas des plus impressionnants de Paris. On mettra cela sur le dos de la localisation des lieux plutôt privilégiée, à quelques pas de la Tour Eiffel, et au plaisir de manger dans un cadre atypique en plein Paris.

Japan Expo / Comic Con’ 2012 à Paris

japan-expo-logo-200x300Bien que la fusion des deux conventions ait été consommée depuis des années, je n’avais jamais eu l’occasion de mettre les pieds ni à la Japan Expo, ni à la Comic Con’ jusqu’à hier encore.

C’est donc lors de la première journée de cette édition 2012, ouverte du 5 au 8 juillet 2012 au Parc des Expositions Paris-nord, que j’ai décidé de franchir le pas afin de découvrir ce phénomène qui déplace tant les foules.

Récit d’un visiteur novice dans la suite de l’article.

Le ton est donné dès lors où nous décidons de nous rendre au Parc des Expositions en transport en commun : le quai du RER B qui dessert le Parc de Villepinte fourmille déjà d’énergumènes semblant sortir tout droit des mangas japonais. Petites écolières en jupe courte, fillettes aux cheveux fluo ou encore quelques bonhommes aux déguisements home made des chevaliers du Zodiaque ultra sophistiqué sur le dos, chacun y va de son costume afin de ne pas passer inaperçu une fois sur place. En effet, lors de la Japan Expo, de nombreux concours  de Cosplay (raccourci de « costume » et « playing ») sont organisés par les exposants afin de réunir et récompenser les meilleurs déguisements présents.

Une fois sur place, l’entrée de la convention est parsemée de longues et interminables files d’attentes qui serpentent sur des kilomètres. Par chance, le premier jour de la convention ne semble pas trop surchargé et le hangar qui sert de salle de torture file d’attente se traverse d’une traite. J’envoie d’avance une petite pensée à ceux qui la subiront samedi aux heures de pointes…

Une fois à l’intérieur, les cosplayeurs se font légion et seuls les déguisements les plus sophistiqués sortent du lot pour le plus grand plaisir des photographes qui n’hésitent pas à les interpeler le temps d’une prise. Équipé de mon appareil réflex, je m’en suis également donné à coeur joie afin de capturer en image quelques belles créatures. Et comme je suis généreux, je partage avec vous

 

L’organisation de la Japan Expo est très segmentée, chaque secteur regroupe vraiment un type d’animation :

  • merchandising
  • éditeurs de manga/BD
  • jeux vidéo
  • animes
  • coin créateurs et jeunes talents
  • espace animations et cosplay
Quant à la Comic Con’, bien qu’étant collé à la Japan Expo, l’organisation semble plus brouillon et préfère laisser le visiteur se perdre dans les allées. Espace Nintendo avec bornes de jeux Mario Bros 2 sur 3DS, Dead or Alive 5 sur XBox, Dance Dance Revolution, Naruto Ultimate Ninja SG, … au final, on se croirait davantage à la Paris Games Week qu’à une convention orientée « Comics ». L’arène de catch et l’espace Roller présents non loin de là n’aident pas à redresser la barre. Mis à part cela, on retrouve toujours les éternels marchands de goodies et autres joyeusetés prêts à récupérer vos euros sonnants et trébuchants.
Pour cette première en la matière, étant totalement newbie des conventions de ce type, j’ai d’abord été très surpris par le nombre d’exposants professionnels proposant uniquement leurs articles à l’achat, sans réelle animation dédiée à la Japan Expo. Au fil des couloirs, mon impression n’a fait que se renforcer, on a vite l’impression de se retrouver au beau milieu d’un supermarché géant avec des articles plus ou moins liés au Japon :
  • gâteaux, bonbons et autres denrées alimentaires normalement disponibles qu’au Japon
  • sac, bonnets, t-shirts bariolées de couleur flashy et au motif de dessins animées
  • figurines, portes clés et autres joyeux goodies
  • j’en passe et des meilleurs
On regrettera le manque d’imagination et d’effort de la part de beaucoup d’exposants pour proposer un petit « plus » afin de se différencier. En effet, la plupart des exposants tiennent également une boutique en ligne ou un magasin qui a pignon sur rue, il n’y a donc que peu de bénéfice à préférer l’achat sur le stand lors de la Japan Expo que par la voie traditionnelle, la foule en moins. Quelques éditeurs et marchands jouent le jeu en éditant une série limitée exclusive à la Japan Expo / Comic Con ou offrent quelques cadeaux goodies avec tout achat. Dans l’ensemble, l’impression d’avoir payé une entrée afin d’avoir le droit d’acheter et de dépenser à nouveau reste toujours présente. Dommage.
Heureusement, quelques scènes et espaces d’animations sont présentes afin de divertir les visiteurs venus pour faire autre chose que leur shopping. Combat de sumos, arènes de troll ball, espaces de présentation de nouveaux jeux vidéos (dont Nintendo et Square Enix), initiation aux arts martiaux, cours de dessins, etc. parsèment les allées afin de proposer autre chose que du merchandising. Je dédie mon coup de coeur à l’espace Lego tenu par l’association FreeLUG où de nombreuses mises en scène extrêmement bien reproduites ont été installées. J’admire leur travail de réalisation qui a du prendre des heures de boulot, bravo !
Au final, je retiendrais l’ambiance bon enfant de la convention où l’insolite se mêle avec la bonne humeur des cosplayeurs. Malgré la chaleur, la foule et l’agitation, l’ambiance est décontractée et on se promène dans les allées sans trop de chahuts. Les boutiques des éditeurs sont quasiment toutes ouvertes sans portique de sécurité alors que des montagnes de livres sont à la portée de main de tout le monde sans passage obligatoire par la caisse… Soit nous sommes effectivement au pays de Candy et les vols sont inexistants ou alors j’ai l’esprit malsain.
Je regretterais juste un peu la tournure un peu trop « commerciale » adoptée par la Japan Expo aux fils des années et l’absence de véritable identité « comics » côté Comic Con.

 

PS 1 : Retrouvez plus de photos de la Japan Expo (notamment des mises en scène Lego) sur mon espace Flickr : http://www.flickr.com/photos/onlyrider/

 

PS 2: Terminons par une minute geek
Bien évidemment, avec tous ces marchands glanant leurs tentations sous votre nez, surhumain est celui qui ressortira de la convention les mains vides. Je ne suis qu’un homme, geek et faible qui plus est.
Fan de Batman depuis mon premier jour, je n’ai pu résister à l’achat coup de coeur suivant :
Le Batarang de Batman Arkham Asylum en aluminium anodisé avec son support de présentation et sa plaque signalétique métal. Totalement inutile certes… mais complètement indispensable !
Chaque pièce est fabriquée par RBReplicas grâce à une machine de découpage laser haute précision et un usinage de qualité. Je le reconnais, ce n’est absolument pas l’achat le plus raisonnable de mon existence mais on ne vit qu’une fois

La boutique Hollister de Vélizy 2

Après avoir déambulé tant bien que mal dans les allées de la boutique Hollister des Docks 76 en début d’année, je me devais de retenter l’essai dans une autre succursale de la marque américaine afin de pouvoir vous faire part d’un semblant de comparaison.

C’est donc en ce samedi ensoleillé de début juin (effectivement, il n’y en a pas eu beaucoup, je vous l’accorde) que j’ai bravé la foule pour visiter l’une des deux boutiques Hollister franciliennes, la première situant dans le centre commercial de  Vélizy 2 (78) et la seconde au Carré Sénart (77)

L’objectif premier de ma visite a été de chasser un hoodie de type Button down qui me tease depuis un petit moment mais dont le prix m’a toujours retenu jusqu’à présent. L’occasion de mon anniversaire prochain combinée avec l’idée que ce modèle serait arrêté par la marque dès la prochaine saison ont définitivement eu raison de moi.

La devanture de la boutique Hollister de Vélizy 2 ressemble absolument aux autres boutiques de la marque : même look de bungalow californien, mise en scène bord de plage, pas de grosses signalétiques de la marque sur la devanture, ambiance parfumée et lumière tamisée (voire même manquant cruellement de luminosité). On est bien dans une boutique du groupe Abercrombie et a fortiori chez Hollister.

A l’intérieur du magasin, même ambiance et même disposition que dans les autres boutiques, le découpage est symétrique : à gauche pour les « dudes » et à droite pour les « bettys », impossible de s’y perdre. D’emblée, je remarque une différence majeure avec la boutique de Rouen : il n’y a pas de fil d’attente devant le magasin, l’entrée est libre et la circulation plutôt fluide à l’intérieur du magasin.  Appréciable ! A croire que les Franciliens sont moins influencés par l’effet marketing d’Hollister (ou alors tellement exposés qu’ils en sont moins sensibles) au contraire des provinciaux qui se ruent sur le moindre mouvement « hype » qui daignerait s’aventurer dans les campagnes.

Autre point différenciant : ici, il n’est plus question de mettre en scène un semblant d’atmosphère pseudo-californien, aucune vendeuse peroxydée au sourire bright et à la poitrine avantageuse ne vous accueillera avec un joyeux « Hey what’s up ? » comme j’ai pu le voir au Docks 76. D’ailleurs, ce n’est sûrement plus le cas non plus à Rouen, à vérifier…

 

Une fois dans l’antre, je me dirige donc vers les hoodies boutonnés afin de satisfaire le besoin frénétique d’achat qui m’a poussé jusqu’ici. Horreur, le modèle que je recherche n’est présent dans les rayons qu’en taille L ou XL et seulement en couleur gris anthracite. Holy crap…

Remarquant que le modèle exact que je voulais (taille M, couleur bleu) est en exposition sur un mannequin, je décide donc d’interrompre un des vendeurs blonds surfeurs bodybuildés dans sa lourde tache de pliage des shorts afin qu’il puisse vérifier si le modèle que je cherche est en stock. Ce dernier dégaine immédiatement son talkie walkie pour relayer ma requête à un de ses confrères en charge probablement de la gestion des stocks. Après 2-3 minutes d’attente, une réponse grésille dans le combiné, réponse que je n’ai absolument pas pu comprendre à cause de la forte musique omniprésente dans le magasin. Et pour ne rien vous cacher, je suis convaincu que le vendeur non plus n’a rien compris à la réponse de son collègue… Et pourtant, il me répond sûr de lui que les stocks sont vides et que seul ce qui est en rayon est disponible dans l’immédiat. Soit… Étrange quand même de ne pas disposer de stock pour un des best-sellers de la marque qui doit se vendre par palettes entières, en particulier un samedi après-midi comme celui-ci. Avant de repartir bredouille du magasin, je tente quand même de demander s’il est envisageable de prendre le modèle qui habille le mannequin. Réponse immédiate : « Non, c’est un modèle d’exposition, on n’a pas le droit ». Il me semble que cela s’appelle du refus de vente, je dis ça, je dis rien…

Bref, je ressors donc du magasin les mains vides et le ventre creux. Je poursuis donc sereinement mon après-midi shopping avec ma compagne dans le centre commercial durant trois bonnes heures bien que je continuais à me questionner concernant cette rupture de stock mystérieuse…

Têtu de nature, je décide par curiosité de repasser par la case Hollister juste avant de quitter le centre commercial afin de vérifier une dernière fois les rayons. BINGO ! Les rayons ont été réapprovisionnés entre temps, le modèle que je cherchais étant cette fois bien présent en rayon avec la bonne taille et la bonne couleur. En résumé, soit le magasin a reçu une livraison miracle dans l’après-midi et a immédiatement mis en rayon ses articles ou bien le vendeur du début d’après midi m’a juste envoyé paître car visiblement, je l’em***dé avec mes questions. Perso, je penche sévèrement pour la seconde option.

Pour marquer le coup (mais aussi parce que je n’aime pas beaucoup qu’on se moque de moi), ma compagne décide d’aller voir le vendeur incriminé pour lui faire clairement la remarque. Visiblement gêné mais définitivement de mauvaise foi, le vendeur nous a répondu que les hoodies à boutons se situaient en fait en fond de magasin, c’est pour cette raison que je ne les ai peut être pas vu plus tôt… Woooookay d’accord bonhomme, Jean-Michel TuSersARien bonsoir.

En résumé : bien que je me sois délesté de 72 euros, la boutique Hollister de Vélizy est on ne peut plus classique, en ligne avec les autres magasins de la marque. Le gros point noir se situe autour d’un personnel dont le sens du service est clairement à revoir. Messieurs dames du recrutement d’Hollister / Abercrombie, il n’y a pas que le six-pack d’abdos à mettre dans vos critères d’embauche, le cerveau ne doit pas être en option chez vos vendeurs qui sont, on l’oublie trop souvent, la vitrine de votre marque auprès de votre clientèle.

Le premier concept store français d’Audio-Technica

L’un des plus grands noms du son prend ses marques dans la capitale en installant pour la première fois en France son concept store Audio-Technica. Pour cette première inauguration qui a eu lieu le samedi 17 décembre dernier, la marque a choisie un emplacement de choix au coeur du 1er arrondissement de Paris, entre le Louvre et l’Opéra Garnier.

Audiophile depuis toujours et grand admirateur de la marque nippone, j’ai décidé d’aller y faire un tour afin de vous faire part de mon expérience.

Pour l’atmosphère de sa boutique, la marque emprunte les grandes tendances de la décoration japonaise : bois clair, lignes épurées, constraste. On se croirait presque dans… un Apple Store ! Cette impression est d’autant plus marquée par la présence d’iMacs sur les bureaux et d’iPads 2 sur les murs afin de vous permettre de choisir vos pistes musicales lors de vos essais.

Le large panel des modèles nomades est en libre accès sur l’ensemble du flanc gauche du magasin, classé par type (intras, écouteurs, casques) par gamme, par design… Chacun des casques est relié au mur et est individuellement contrôlable via le potentiomètre. On prend alors un malin plaisir à les

tester les uns à la suite des autres, on montant doucement en gamme et donc en qualité d’écoute mais malheureusement aussi en prix. Pour les fans de la marque, ils apprécieront de retrouver certains modèles rares, normalement introuvables dans les autres enseignes généralistes (type FNAC, Darty et cie) et disponibles souvent en import uniquement sur Internet.

Pour les adeptes des casques à réduction active du bruit ambiant, un petit espace vous permettra de pousser dans ses derniers retranchements la gamme QuietPoint d’Audio-Technica en la confrontant au décollage d’un Airbus A380 !

Au fond de la boutique se trouve le coin Hi-Fi, réservé aux oreilles averties. On y retrouve une dizaine de modèles des gammes ATH-A, ATH-T, ATH-AD et même le haut de gamme ATH-W. Le vendeur, extrêmement aimable et pédagogue, me permet d’essayer chacun des casques Hi-Fi de la marque en montant progressivement en gamme. Confortablement installé dans les canapés, je commence doucement avec un ATH-A500 puis un ATH-A700, 900 […] pour terminer avec le modèle le plus cher de la marque (disponible à l’achat, je ne parle pas des modèles en édition limitée), le ATH-W5000.

Avec ces écouteurs en ébène striée et sa fabrication haute-couture, ce casque m’a véritablement transporté dans un autre monde l’espace d’un instant, sur une douce musique Jazz dont je n’ai malheureusement pas retenu le nom. L’atterrissage fut difficile à l’annonce de son prix : 1159 euros. De plus, il est bien entendu hors de question d’écouter avec ce casque sans le matériel adéquat sur toute la ligne : une platine vinyle à AT-LP120 250 €, une cellule, un diamant et un bon vinyle de qualité et un amplificateur casque AT-HA5000ANV à près de 3000 euros. Ouille… Mais ne serait-ce que pour la magie et pour le droit aux rêves, n’hésitez pas à faire l’essai en magasin, la combinaison du meilleur des 3 mondes (source audio, ampli, casque de restitution) est orgasmique.

La boutique parisienne de CDiscount, 63 rue du bac 75007 Paris

Après avoir appris l’ouverture récente de la toute première boutique physique du n°1 du e-commerce en France, j’ai décidé d’aller y faire ma propre opinion, sans aucun a priori.

La stratégie des e-commerçants est habituellement l’opposé de CDiscount : ce sont généralement les magasins physiques, forts de leur succès, qui décident de se lancer en ligne. Et lorsque le mastodonte de la vente en ligne décide de se tailler un bout de trottoir dans la capitale, cela ne se fait pas de façon incognito. A coups d’ENORMES panneaux publicitaires dans les transports en commun, CDiscount a annoncé l’ouverture de son magasin physique le 14 octobre 2011 avec la promesse de plus de 2000 références disponibles mais surtout des prix alignés avec ceux pratiqués en ligne.

D’emblée, nous pouvons légitimement nous poser une première question : comment feront-ils pour stocker 2000 références sur une surface annoncée de 500 m2 ? Dans la même lignée :  comment feront-ils pour gérer le flux de clients dans un espace aussi réduit ?

La solution retenue par CDiscount est simple : la surface de vente étant étriquée, les couloirs de circulation seront étroits et le flux de visiteurs sera filtré à l’entrée, à la façon d’une boite de nuit V.I.P. Pas sûr que cela soit du goût de tout ceux comme moi qui seront amenés à patienter dans une file d’attente avant de pouvoir passer les portes du magasin. Ou était-ce uniquement l’effet « samedi après-midi » ? A voir sur la durée.

Une fois les portes du Sésame franchies, nous découvrons un panel de références très diversifié sans être aussi éclectique que le site Internet. Audio, vidéo, jeux, DVD/Blu-ray, portables, caves à vins, bonnes bouteilles, petits électroménagers, etc. la griffe CDiscount est présente. Exit par contre l’habillement, la mode et les meubles. Les prix affichés semblent également tenir leur promesse : quelques DVD à 1 euros, un choix de téléviseurs à prix cassés et quelques accessoires pour consoles à un tarif très abordable. Nous sommes par contre plus dubitatif sur plusieurs produits d’électroménagers mais aussi plusieurs références de netbooks qui affichent un prix dans la norme, sans grand intérêt.
Par « sans grand intêret », j’entends sans intérêt particulier par rapport à la concurrence direct (FNAC, Darty et confrères) car détail qui a son importance : pour toutes les garanties produits, bien que la boutique soit bien une boutique physique, la garantie de l’ensemble des produits s’effectue de la même manière que sur leur site Internet, à savoir une garantie Constructeur. Autrement dit, Cdiscount n’assure pas directement le SAV des produits qu’ils vendent, si vous avez un pépin quelconque, CDiscount s’occupera uniquement du transfert de l’article vers le constructeur. Et à partir de là, à vous la longue attente… Pas d’échange standard en quelques minutes comme le proposerai la FNAC par exemple.
Si vous comptiez sur l’aspect humain et la dimension conseil avant-vente, vous serez également déçu : les vendeurs, surmenés par le manque de personnel depuis l’ouverture (mais aussi le manque de compétences flagrants de certains), auront tout le mal du monde à vous consacrer quelques minutes pour un processus d’achat réfléchi et personnalisé à vos attentes.

Bilan à demi teinte pour cette première visite : si vous comptiez pouvoir retrouver l’attractivité des ventes flash du site Internet dans leur magasin en ligne, c’est raté. Il en est de même pour le choix des références en magasin, pas toujours les plus intéressantes. La surface réduite du magasin, à comparer aux nombreux curieux comme nous désireux de parcourir tranquillement les allées du magasin, rend l’expérience assez peu agréable.
De ce constat, le magasin est finalement à recommander uniquement aux courageux qui arriveront à se faufiler à travers les rayons à l’affut de la bonne affaire ou bien encore aux chanceux qui seront au bon endroit au bon moment pour profiter d’un prix sacrifié sur exactement le type de produit qu’ils recherchaient.

Le bar à billards La Quille, Paris

Pour les pros du billards, j’ai découvert pas plus tard qu’hier soir un excellent point de rendez-vous pour pratiquer vos meilleurs coups de queues ou affiner votre touché de boules (mauvais jeux de mots, bonjour !).

A quelques pas de métro Parmentier, dans le 11ème arrondissement de Paris, le bar La Quille vous propose un espace de jeu spacieux dans un cadre agréable. En plus des pistes de mini-bowlings (encore un concept américain farfelu) sans grand intérêt sauf pour les allergiques aux chaussures de clowns obligatoire habituellement, le bar propose 6 tables de billards dont un pool anglais pour se retrouver entre amis pour un bon moment de jeu.

Le tarif est de 13 euros de l’heure pour une table la semaine, sans limitation de joueurs et 15 euros de l’heure le vendredi, samedi et veille de fêtes à partir de 20 heures. Ce sont des tarifs dans la norme de la capitale, sans abus ni bonne affaire.

Point fort : le bar est réputé « low cost » ce qui vous permettra par exemple d’accompagner votre partie de billards avec une pinte de bière à partir de 4 euros seulement.

La Quille, 111 rue St Maur, 75011 Paris

Le restaurant de pâtes fraîches l’Ebullition

Parmi les nombreux fastfoods divers qui parsèment les rues de la capitale, il y en a pour tous les goûts. Des chaînes de burgers bien connus au petit grec suspect du coin de la rue (bouh le cliché !), un type de restauration rapide tente de se frayer une place au soleil depuis les cinq dernières années : les bars à pâtes.

Face aux mastodontes du sandwichs ronds, qui aurait pu s’imaginer le grand potentiel des pâtes italiennes dans le cadre d’une restauration sur le pouce ?

Le marché en France est majoritairement trusté par deux chaînes françaises de restaurants de pâtes qui ont fait leur apparition quasi simultanément à la fin de l’année 2004 sous des noms aux sonorités italiennes, Viagio et Mezzo di pasta. Mettant l’accent sur le goût et sur la nutrition, ces restaurants essayent de proposer des produits sains et équilibrés, pauvres en matière grasses et riches en glucides. Viagio n’est pas un novice du secteur de la restauration: détenu par le groupe Bertrand, il est du même sang que ses frères fastfood Quick, Bert’s, etc.

Aujourd’hui, six chaînes de restauration se partagent le marché des fastfoods à l’italienne, Viagio et Mezzo di Pasta en tête, proposant plusieurs centaines de restaurants en France tout en commençant progressivement à s’ouvrir à l’international.

Face à la réussite de ces chaînes et à la forte rentabilité sur ce marché (avec des marges avoisinant les 70%), de nombreux indépendants se sont lancés sur le même secteur grâce à des matières premières abordables, souvent peu de personnel et une marge confortable.

Aujourd’hui, j’ai voulu partager avec vous un petit coup de coeur pour un restaurant à pâtes indépendant et mettant l’accent sur la qualité maison, cet aspect malheureusement délaissé par les grands noms, j’ai nommé l’Ebullition.

L’Ebullition est un de ces restaurants rapides indépendants de pâtes fraîches et de sauces maison dont l’offre est renouvelée quotidiennement. Situé à deux pas de la Porte de Versailles, face au Palais des Sports et du Parc des Expositions, c’est un endroit idéal pour avaler un morceau avant d’aller déambuler dans les allées d’un salon d’exposition.

Découvert grâce au site de ventes groupées Lookingo, j’ai bénéficié d’un bon afin de profiter d’un repas à deux comprenant une entrée, un plat de pâtes et un dessert à un tarif préférentiel. Une fois sur place, le premier accueil a été on ne peut plus agréable : le responsable des lieux s’est souvenu de notre nom suite à ma réservation téléphonique puis nous a offert un accueil personnalisé en nous expliquant très clairement le principe de son restaurant. Mieux, chacun des entrées, sauces et desserts nous ont été présentés avec passion en nous indiquant les petits détails de préparation maison pour chacun d’eux.

Fort de ces explications du chef, nous avons pu choisir consciencieusement ce qui composa notre repas. Après une longue hésitation, nous avons choisi une jolie salade océane en entrée avec des Malfatti ricotta & épinards – une sorte de ravioles – avec une sauce Pesto verde (basilic, pignons, noix, ail, Gran Padano, huile d’olive) pour ma part et des classiques tagliatelles sauce Pesto rouge (tomates séchées, herbes aromatiques, huile d’olive) pour ma compagne en guise de plat principal. Le choix du dessert, ou petite douceur dans le langage de la maison, fut encore plus cornélien, chacun d’eux vous regardant d’un oeil charmeur. Mon choix s’est porté sur un irremplaçable tiramisu maison tandis que ma compagne s’est aventurée sur les sentiers d’une crème canelle aux Spéculos. Sans regret selon ses dires.

Particularité de l’Ebullition : l’endroit permet de marier judicieusement la rapidité et l’efficacité d’un fastfood avec l’attention et le confort d’un restaurant traditionnel. La commande est passée et réglée au comptoir tandis que les plats sont préparés dans l’instant et vous sont servis à votre table, avec le sourire, dans de jolis bols avec de vrais couverts.

Ce ne sont que des pâtes me direz vous… Mais, croyez-moi sur parole, ce sont des pâtes goûteuses ! Pour avoir déjà fait l’expérience des autres grandes chaînes de bars à pâtes, il n’y a pas de comparaison qualitative possible !  Je ne me retiens donc pas pour vous recommander chaudement ce petit restaurant de pâtes loin des stéréotypes du fastfood sans âme ni chaleur. Eric, le responsable d’origine suisse, vous y accueillera avec le sourire en vous présentant avec passion ses préparations du jour qui ne manqueront pas de réveiller vos papilles.

L’Ebullition, Paris

Salon paris games week 2011

En ce samedi glacial à vous rappeler qu’il n’est plus temps à pavaner dehors, bon nombre d’entre nous recherchons désormais des activités couvertes afin d’occuper nos weekends.

Coup de chance pour les habitants de la capitale, il se tient en ce moment même quatre salons différents à la salle d’exposition de la Porte de Versailles, de quoi vous occuper ce week end :

– La Foire d’Automne du 15 au 24 octobre 2011
– La Kid Expo du 21 au 24 octobre 2011
– Le 17ème salon du chocolat du 20 au 24 octobre 2011
– Le Paris Games Week du 21 au 25 octobre 2011

C’est sur ce dernier salon que nous allons nous attarder un moment car j’ai testé pour vous aujourd’hui le salon du jeu vidéo Paris Games Week 2011.

Le Paris Games Week tient en ce moment même et avec succès sa deuxième édition, ce qui vous donnera l’occasion de rencontrer l’ensemble des acteurs de l’industrie vidéo ludique. Cette année, plus d’une trentaine de constructeurs, éditeurs et accessoiristes vous feront découvrir et prendre en main en avant-première toutes les nouveautés qui seront sur le marché d’ici les fêtes de fin d’année. Par ailleurs, de nombreuses animations, des démonstrations, conférences, séances d’essais libres et des concerts ponctueront votre visite. Au rang des nouveautés de cette édition 2011 : la présence de l’ESWC (Electronic Sports World Cup) et la finale du FISE (Festival International de sports Extrêmes) en plein coeur du salon !

Choisir le samedi pour se rendre au PGW (Paris Games Week) n’est pas le choix le plus judicieux qui soit : pour ceux qui n’ont pas acheté par avance leur entrée dans les différents espaces de vente (type FNAC, Digitick etc.) devront s’armer d’une patience à l’épreuve du froid ! Pour sûr, la longue queue à l’extérieur ne sera pas le meilleur moment de votre visite. Premier conseil : achetez votre entrée avant d’y aller. Astuce supplémentaire de la part d’AvezVousTesté.fr : pour les adhérents FNAC, 1 entrée achetée = 1 entrée offerte !

Une fois les portes franchies, à vous les décibels, les spotlights, les nouveautés et … la foule ! D’emblée, force est de constater que l’endroit est exiguë pour un tel évènement : même si les 22 000 mètres carré du pavillon 3 pourraient sembler suffisant à première vue, face à l’espace occupé par les différents stands, il reste au final bien peu de place pour caser les milliers de visiteurs qui s’agglutinent tant bien que mal devant les bornes d’essais. La circulation dans les allées est périlleuse et les bousculades deviennent rapidement la norme. Dommage de ne pas avoir prévu plus d’espace pour un évènement de cette envergure.

Par chance, si vous parvenez à mettre la main sur une borne d’essai après quelques minutes de queue, vous apprécierez sur plusieurs stands de recevoir un petit « goodie » de remerciement dans l’esprit du jeu essayé. A titre d’exemple, les meilleurs temps sur Sonic Generations (prochainement disponible sur XBox, PS3 et 3DS) seront récompensés d’une coiffe bleue rappelant l’hérisson supersonique. Nous apprécions le geste même si la gestion de la foule devant les bornes de jeux est chaotique car inexistante. Second conseil d’AvezVousTesté.fr : sachez vous imposer fermement face aux petits montres si vous voulez avoir l’espoir de toucher une manette !

Les blockbusters de cette fin d’année que sont les frères rivaux Call of Duty Modern Warfare 3 d’Activision et Battlefield 3 d’Electronic Arts ont respectivement un stand d’essai au décor de champ de bataille. Les apprentis soldats se sont donnés le mot pour venir en masse jauger ces deux titres phares avant leurs sorties synchronisées prévues le 10 novembre prochain.

De nombreux jeux concours sont organisés autour de plusieurs jeux vidéos laissant la chance aux plus aguerris d’acquérir de nombreux lots. Les tournois SoulCalibur V et Gran Turismo 5 semblent avoir attirés le plus grand succès. Dans un registre moins masculins, les jeunes demoiselles pourront exposer leur dextérité (et leurs jolies formes) sur les derniers Just Dance 3, Zumba Fitness 2 ou encore Dance Central 2. Pour les moins téméraires, l’espace Conférence offre un nombre suffisant de sièges pour assister aux prises de paroles des acteurs majeurs de la scène du jeu vidéo.

Cette année, en plus d’un espace dédié au déroulement des épreuves du ESWC où vous pourrez suivre les exploits d’équipes de jeux lors d’affrontements au plus haut niveau, un skatepark a été monté en plein milieu du salon pour accueillir la finale de la tournée française du FISE Xperience. Une poignée de BMX riders triés sur le volet s’affrontent dans un esprit bon enfant en nous offrant un plaisir visuel inouï.

Dans l’ensemble, le salon PGW 2011 permettra à tous de ce tenir au courant de l’actualité et d’apercevoir les nouveautés de cette fin d’année sans malheureusement pouvoir tous les approcher à cause de la surpopulation ambiante. De nombreux exposants vous permettront également de faire vos emplettes de goodies en tout genre (t-shirts imprimés, figurines, porte-clés, etc.). Nous avons apprécié la grande variété des espaces de jeux et la présence de nombreuses animations sur la majorité des stands. Au rang des déceptions, vous l’aurez compris, un bain de foule rapidement pesant et une organisation approximative sur les espaces d’essais libres laissent un souvenir en demi teinte de ce cru 2011.

http://www.parisgamesweek.com

L’Afterwork au Maxim’s de Paris

MaximsCélèbre restaurant parisien situé entre la place de la Concorde et celle de la Madeleine, il est l’un des établissements gastronomiques les plus célébres de la capitale. Très connu également pour ses produits gourmets et son épicerie fine, qu’en est-il lorsque le Maxim’s décide de surfer sur le phénomène mode du moment, les afterworks ?
Mais tout d’abord, qu’est ce qu’un afterwork ?

Le concept, venu des Etats-Unis, a débarqué en France il y a quelques années. Il permet aux plus fêtards de ne pas attendre le vendredi soir mais de faire la fête n’importe quel jour de la semaine tout en étant sûr de pouvoir faire dodo à 1h00 du matin maximum.

Comment ? En n’attendant pas 23h-minuit pour commencer mais en démarrant dès la sortie du bureau à 19h ! Cela commencera doucement avec un petit apéritif dinatoire généralement sous forme d’un buffet froid et plus le soleil descend à l’horizon, plus le son monte et l’ambiance aussi ! Une bonne façon de réconcilier travail et vie nocturne, sans être dans le gaz le lendemain matin.

Sans grande originalité, le Maxim’s se cale à la lettre sur ce modèle : ouverture des portes à 19h00 pétantes pour permettre aux premiers arrivés de profiter d’un rudimentaire buffet froid (un peu de charcuterie, du pain et quelques salades de pâtes). J’insiste sur « premiers arrivés » car les retardataires devront se contenter des restes. Quelques morceaux de cake viendront plus tard clôturer ce buffet.

Point semi-positif, le champagne vous est servi en open bar… jusqu’à 20h30 (hic) ! Dépêchez-vous une nouvelle fois !

L’endroit est chaleureux mais assez étriqué, compartimenté en plusieurs petites pièces. Une belle terasse permettra aux fumeurs de s’en donner à coeur joie.
Ce n’est qu’aux alentours de 21h00-21h30 qu’une ambiance de fête s’installe et que la musique commence à vous inonder les oreilles. Le DJ parvient sans mal à remplir la (trop) petite salle centrale servant de piste de danse qui devient alors méconnaissable. La circulation d’une salle à l’autre, passant obligatoirement par la salle centrale, devient déjà plus périlleuse.

Dans l’ensemble, on y passe un bon moment et l’ambiance est au rendez-vous. La moyenne d’âge des convives, située entre 22 et 30 ans, réservera ces afterworks à un public plutôt jeune.

Nous citerons en point négatif le buffet assez pauvre et peu renouvellé, l’open champagne qui se termine bien trop tôt (les consos par la suite sont hors de portée, 120€ la bouteille de Ballantine’s par exemple), le vestiaire payant et le prix de l’entrée (15 euros en prévente ou 20 euros sur place).

Le restaurant japonais AKI, la maison des okonomiyakis

aki1-e1319122460788-224x300Commençons par ce qu’il y a de plus frais dans ma mémoire, le restaurant de ce midi où il m’arrive de déjeuner de temps à autre entre collègues : le AKI.

Le AKI est un restaurant japonais situé dans la très fameuse rue St Anne dans le 1er arrondissement de Paris. Celui-ci est très largement connu des amateurs de cuisine nipponne pour ses nouilles sautées, ses plats de riz mais surtout pour ses Okonomiyaki.

Mais que cache ce nom imprononçable pour les novices ?

Les okonomiyakis sont une sorte de petite crêpe japonaise faite à base de choux, que l’on peut déguster avec différents accompagnements, viandes ou fruits de mer.

Petit plus du restaurant : si vous avez la chance d’être au comptoir, au sous-sol, le chef préparera ces petites crêpes juste devant vos yeux et vous les servira bien chaude lui-même ! Chaud devant !

Saupoudrée de copeaux de bonite séchée (katsuobushi) et sous l’effet de la chaleur, votre crêpe s’ondule et se met à bouger. Très amusant.

Pour les réticents de la crêpe, le restaurant vous proposera les mets traditionnels que l’on retrouve un peu partout : donburi (plat de riz), yaki (nouilles), et j’en passe. Comptez entre 8 et 13€ le plat. Les formules oscillent entre 11.50€ et 13€ pour un plat, une soupe miso et une petite salade sans réel intérêt.

Point négatif : victime de son succès, le restaurant est très (trop) souvent plein et il faudra être patient. Il est bien plus facile d’y déjeuner que de dîner sur place. Par contre, ne comptez même pas y manger en groupe de plus de 4-5 personnes.

Dernier point : prévoyez des espèces, la carte bancaire est honteusement acceptée qu’à partir d’un montant de 25 € !

Restaurant AKI, 11 rue Sainte-Anne, 75001 Paris