Les stickers pour Mac / iPhone / iPad de i-Stickers

 iPad de i-Stickers

 

Qualité de produit à la hauteur pour des produits à prix serrés. On regrettera le manque de facilité de la procédure de pose, peu détaillée dans la notice vaguement traduite en français.

Marre de la grisaille de votre MacBook tout aluminium, de votre iPhone tout noir ou de votre iPad tout blanc ? Les stickers sont là !

La tendance est apparue il y a déjà quelques années et j’avais abordé longuement le sujet avec vous l’année dernière en cherchant à donner une petite touche de fantaisie à mon Macbook Air.

A l’époque, j’avais été déçu par deux points :

  • La qualité de la découpe du sticker, plutôt brouillon et non conforme au descriptif de l’article sur le site marchand
  • Le prix

Ayant depuis changé de machine, j’ai été contraint de retirer le sticker Domo-kun afin de fournir à mon acheteur une machine vierge. Après l’achat d’un nouveau Mac, je me suis retrouvé moi même avec une nouvelle machine grise et tristounette. Il était temps d’y remédier grâce aux stickers du site i-sticker.fr

Pour redécorer mon Macbook Air flambant neuf, j’ai opté cette fois-ci pour un sticker plus imposant que mon chétif Domokun de l’époque.

Reçu dans une enveloppe en courrier suivi, le sticker est accompagné d’un film de transfert permettant l’installation sur votre laptop bien aimé ainsi qu’une brève note d’utilisation vaguement traduite. Pour autant, pas besoin d’avoir un Bac+5 pour réussir la pose, il suffit d’un peu de rigueur et de dextérité et le tour est joué.

Etape 1 : on déballe et on dépoussière son Macbook avec un chiffon sec pour éviter d’y coller trop de cochonneries

Etape 2 : On lit la notice et on y lit qu’il faut appliquer soit même le film de transfert sur toute la surface du sticker. Allez-y tout doucement, prenez votre temps pour éviter toute bulle d’air.

Astuce du chef : utilisez une carte (bancaire ou de fidélité) pour « maroufler » toute la surface du sticker afin de s’assurer qu’il collera bien sur le film de transfert sans se déchirer lorsque vous allez peler l’autocollant.

Pour les plus assidus d’entre vous, vous remarquerez que cette étape ne faisait pas partie du collage de mon précédent sticker DomoKun de chez Stickers2Ouf. En effet, le sticker m’était livré préalablement filmé, il n’y avait plus qu’à peler l’autocollant et à l’appliquer sur l’appareil. J’ignore par contre si cela est à généraliser à l’ensemble des stickers vendus chez Stickers2ouf.

Etape 3 : Placez le sticker sur votre Macbook et allumer le logo. Par transparence, centrez le sticker comme vous le souhaitez par rapport au logo de la pomme.

Etape 4 : Une fois que vous êtes sûr de votre coup, décollez délicatement le film de transfert pour le coller directement sur votre Macbook. De même, utiliser une carte pour maroufler (Valérie Damidot sors de ce corps !) toute la surface du sticker pour qu’il adhère bien à votre portable.

Etape 5, ultime étape : Une fois le film entièrement collé sur votre Macbook, pelez délicatement le film en s’assurant que le sticker ne se décolle pas en même temps. Ca y est, vous y êtes !

TADA !

Vu le niveau de détail du sticker, ce dernier a nécessité beaucoup plus d’attention lors du collage que lors de ma précédente expérience. Malgré mille précautions, j’ai échoué à un millimètre près la perfection, mon logo étant légèrement décalé du centre du torse, sans gravité.

Du côté des réjouissances, je suis extrêmement satisfait du rendu final et surtout de la qualité de la découpe du sticker. La découpe est nette, sans bavure ni imprécision comme j’avais pu le constater sur le Domo-kun, rien à redire sur ce point. Le seul regret, non imputable directement au sticker en lui-même, reste la relative difficulté de la pose qui nécessite un poil de rigueur pour ne pas gâcher le rendu final.

Si vous êtes tenté par l’expérience, c’est sur le site i-stickers.fr que ça se passe : grand choix de stickers pour Mac, iPad, iPhone, en noir et blanc ou couleur pour un prix généralement plus contenu que pas mal de sites marchands similaires.

La boutique Hollister de Vélizy 2

Après avoir déambulé tant bien que mal dans les allées de la boutique Hollister des Docks 76 en début d’année, je me devais de retenter l’essai dans une autre succursale de la marque américaine afin de pouvoir vous faire part d’un semblant de comparaison.

C’est donc en ce samedi ensoleillé de début juin (effectivement, il n’y en a pas eu beaucoup, je vous l’accorde) que j’ai bravé la foule pour visiter l’une des deux boutiques Hollister franciliennes, la première situant dans le centre commercial de  Vélizy 2 (78) et la seconde au Carré Sénart (77)

L’objectif premier de ma visite a été de chasser un hoodie de type Button down qui me tease depuis un petit moment mais dont le prix m’a toujours retenu jusqu’à présent. L’occasion de mon anniversaire prochain combinée avec l’idée que ce modèle serait arrêté par la marque dès la prochaine saison ont définitivement eu raison de moi.

La devanture de la boutique Hollister de Vélizy 2 ressemble absolument aux autres boutiques de la marque : même look de bungalow californien, mise en scène bord de plage, pas de grosses signalétiques de la marque sur la devanture, ambiance parfumée et lumière tamisée (voire même manquant cruellement de luminosité). On est bien dans une boutique du groupe Abercrombie et a fortiori chez Hollister.

A l’intérieur du magasin, même ambiance et même disposition que dans les autres boutiques, le découpage est symétrique : à gauche pour les « dudes » et à droite pour les « bettys », impossible de s’y perdre. D’emblée, je remarque une différence majeure avec la boutique de Rouen : il n’y a pas de fil d’attente devant le magasin, l’entrée est libre et la circulation plutôt fluide à l’intérieur du magasin.  Appréciable ! A croire que les Franciliens sont moins influencés par l’effet marketing d’Hollister (ou alors tellement exposés qu’ils en sont moins sensibles) au contraire des provinciaux qui se ruent sur le moindre mouvement « hype » qui daignerait s’aventurer dans les campagnes.

Autre point différenciant : ici, il n’est plus question de mettre en scène un semblant d’atmosphère pseudo-californien, aucune vendeuse peroxydée au sourire bright et à la poitrine avantageuse ne vous accueillera avec un joyeux « Hey what’s up ? » comme j’ai pu le voir au Docks 76. D’ailleurs, ce n’est sûrement plus le cas non plus à Rouen, à vérifier…

 

Une fois dans l’antre, je me dirige donc vers les hoodies boutonnés afin de satisfaire le besoin frénétique d’achat qui m’a poussé jusqu’ici. Horreur, le modèle que je recherche n’est présent dans les rayons qu’en taille L ou XL et seulement en couleur gris anthracite. Holy crap…

Remarquant que le modèle exact que je voulais (taille M, couleur bleu) est en exposition sur un mannequin, je décide donc d’interrompre un des vendeurs blonds surfeurs bodybuildés dans sa lourde tache de pliage des shorts afin qu’il puisse vérifier si le modèle que je cherche est en stock. Ce dernier dégaine immédiatement son talkie walkie pour relayer ma requête à un de ses confrères en charge probablement de la gestion des stocks. Après 2-3 minutes d’attente, une réponse grésille dans le combiné, réponse que je n’ai absolument pas pu comprendre à cause de la forte musique omniprésente dans le magasin. Et pour ne rien vous cacher, je suis convaincu que le vendeur non plus n’a rien compris à la réponse de son collègue… Et pourtant, il me répond sûr de lui que les stocks sont vides et que seul ce qui est en rayon est disponible dans l’immédiat. Soit… Étrange quand même de ne pas disposer de stock pour un des best-sellers de la marque qui doit se vendre par palettes entières, en particulier un samedi après-midi comme celui-ci. Avant de repartir bredouille du magasin, je tente quand même de demander s’il est envisageable de prendre le modèle qui habille le mannequin. Réponse immédiate : « Non, c’est un modèle d’exposition, on n’a pas le droit ». Il me semble que cela s’appelle du refus de vente, je dis ça, je dis rien…

Bref, je ressors donc du magasin les mains vides et le ventre creux. Je poursuis donc sereinement mon après-midi shopping avec ma compagne dans le centre commercial durant trois bonnes heures bien que je continuais à me questionner concernant cette rupture de stock mystérieuse…

Têtu de nature, je décide par curiosité de repasser par la case Hollister juste avant de quitter le centre commercial afin de vérifier une dernière fois les rayons. BINGO ! Les rayons ont été réapprovisionnés entre temps, le modèle que je cherchais étant cette fois bien présent en rayon avec la bonne taille et la bonne couleur. En résumé, soit le magasin a reçu une livraison miracle dans l’après-midi et a immédiatement mis en rayon ses articles ou bien le vendeur du début d’après midi m’a juste envoyé paître car visiblement, je l’em***dé avec mes questions. Perso, je penche sévèrement pour la seconde option.

Pour marquer le coup (mais aussi parce que je n’aime pas beaucoup qu’on se moque de moi), ma compagne décide d’aller voir le vendeur incriminé pour lui faire clairement la remarque. Visiblement gêné mais définitivement de mauvaise foi, le vendeur nous a répondu que les hoodies à boutons se situaient en fait en fond de magasin, c’est pour cette raison que je ne les ai peut être pas vu plus tôt… Woooookay d’accord bonhomme, Jean-Michel TuSersARien bonsoir.

En résumé : bien que je me sois délesté de 72 euros, la boutique Hollister de Vélizy est on ne peut plus classique, en ligne avec les autres magasins de la marque. Le gros point noir se situe autour d’un personnel dont le sens du service est clairement à revoir. Messieurs dames du recrutement d’Hollister / Abercrombie, il n’y a pas que le six-pack d’abdos à mettre dans vos critères d’embauche, le cerveau ne doit pas être en option chez vos vendeurs qui sont, on l’oublie trop souvent, la vitrine de votre marque auprès de votre clientèle.

Les stickers décoratifs pour Mac de Stickers2ouf

Marre de la grisaille de votre MacBook tout aluminium ? Démarquez-vous grâce aux nombreuses décorations disponibles afin d’égayer le capot de votre laptop adoré. D’autant plus que le choix est varié, il y en a vraiment pour tous les goûts.

Du sticker flashy et clinquant à la petite touche déco sobre et chic, il y a forcément un sticker pour vous. Outre l’aspect esthétique, bien que discutable pour quelques modèles, certains y trouveront également un aspect pratique afin de masquer un choc accidentel ou encore prévenir des micro-rayures futures.

Pour ma part, je me suis mis en quête d’un petit sticker rigolo, original et surtout pas trop défigurant afin d’égayer mon fidèle MacBook Air et masquer un très léger choc subi sur le capot il y a peu.  Lors d’une visite au Virgin Megastore des Champs Elysées, je suis tombé par hasard sur une série de stickers décoratifs pour Mac au rayon Apple. Cependant, le choix en magasin était assez limité, autour de 3-4 modèles assez cher (19.90 euros le sticker) mais l’idée me semblait d’ores et déjà intéressante. L’adresse de la marque fabriquante, figurant en gros sur l’emballage, m’a incitée à visiter le site web à la recherche de modèles plus diversifiés. En quelques clics, je tombe sur le modèle qui semble correspondre à ce que je recherchais:

Bingo, après 3 secondes et demi d’hésitation, je me déleste des 9.90 euros (quand même, pour un bout de vinyle…) demandé par le site dans l’espoir de recevoir mon Domo-kun le plus rapidement possible. De ce point de vue, je n’ai pas été déçu : commandé dimanche après-midi, j’ai reçu mon sticker le mercredi suivant dans une petite enveloppe banalisée, tamponnée du nom du site web.

Ni une ni deux, je déballe, je suis la petite fiche d’instruction et je l’applique sur le Mac dépoussiéré pour l’occasion. La procédure est on ne peut plus simple, faite juste attention à décoller (très) délicatement le film transparent avant d’appliquer le sticker sur votre ordinateur afin de ne pas laisser en laisser des morceaux.

Une fois posée sur la bécane, place au constat :

De loin, l’effet n’est pas trop mal, on casse la grisaille, le dessin n’est pas trop défigurant et on a un petit sourire aux lèvres en regardant ce monstre savouré son repas pommé. C’est en regardant de plus près que la déception nous gagne un peu : la découpe n’est pas très précise, les détails sont grossiers et l’ajustement de l’ensemble du sticker par rapport au logo Apple n’est pas aussi parfait que le laissait présager la photo du site marchand.

 

On remarque sans difficulté des structures en dents de scie dans les formes courbes du personnage, dommage quand ces formes semblent parfaitement fluides sur l’image de la vitrine du site. De même, les traits du dessin semblent beaucoup plus grasses et moins précises que ce que laisse apparaitre la photo de présentation, il suffit de regarder au niveau des baguettes, des dents ou encore du morceau de pomme que Domo met dans sa bouche.

Au final, le sticker remplit tout de même bien son rôle décoratif même si les finitions restent encore à revoir. Pour le prix affiché, on serait toutefois en droit d’espérer une qualité de découpe irréprochable.

Si vous souhaitez tenter également l’expérience, c’est sur Stickers2Ouf que ça se passe.

Je recommande également les deux sites marchands suivants :