Le bar à billards La Quille, Paris

Pour les pros du billards, j’ai découvert pas plus tard qu’hier soir un excellent point de rendez-vous pour pratiquer vos meilleurs coups de queues ou affiner votre touché de boules (mauvais jeux de mots, bonjour !).

A quelques pas de métro Parmentier, dans le 11ème arrondissement de Paris, le bar La Quille vous propose un espace de jeu spacieux dans un cadre agréable. En plus des pistes de mini-bowlings (encore un concept américain farfelu) sans grand intérêt sauf pour les allergiques aux chaussures de clowns obligatoire habituellement, le bar propose 6 tables de billards dont un pool anglais pour se retrouver entre amis pour un bon moment de jeu.

Le tarif est de 13 euros de l’heure pour une table la semaine, sans limitation de joueurs et 15 euros de l’heure le vendredi, samedi et veille de fêtes à partir de 20 heures. Ce sont des tarifs dans la norme de la capitale, sans abus ni bonne affaire.

Point fort : le bar est réputé « low cost » ce qui vous permettra par exemple d’accompagner votre partie de billards avec une pinte de bière à partir de 4 euros seulement.

La Quille, 111 rue St Maur, 75011 Paris

Le restaurant de pâtes fraîches l’Ebullition

Parmi les nombreux fastfoods divers qui parsèment les rues de la capitale, il y en a pour tous les goûts. Des chaînes de burgers bien connus au petit grec suspect du coin de la rue (bouh le cliché !), un type de restauration rapide tente de se frayer une place au soleil depuis les cinq dernières années : les bars à pâtes.

Face aux mastodontes du sandwichs ronds, qui aurait pu s’imaginer le grand potentiel des pâtes italiennes dans le cadre d’une restauration sur le pouce ?

Le marché en France est majoritairement trusté par deux chaînes françaises de restaurants de pâtes qui ont fait leur apparition quasi simultanément à la fin de l’année 2004 sous des noms aux sonorités italiennes, Viagio et Mezzo di pasta. Mettant l’accent sur le goût et sur la nutrition, ces restaurants essayent de proposer des produits sains et équilibrés, pauvres en matière grasses et riches en glucides. Viagio n’est pas un novice du secteur de la restauration: détenu par le groupe Bertrand, il est du même sang que ses frères fastfood Quick, Bert’s, etc.

Aujourd’hui, six chaînes de restauration se partagent le marché des fastfoods à l’italienne, Viagio et Mezzo di Pasta en tête, proposant plusieurs centaines de restaurants en France tout en commençant progressivement à s’ouvrir à l’international.

Face à la réussite de ces chaînes et à la forte rentabilité sur ce marché (avec des marges avoisinant les 70%), de nombreux indépendants se sont lancés sur le même secteur grâce à des matières premières abordables, souvent peu de personnel et une marge confortable.

Aujourd’hui, j’ai voulu partager avec vous un petit coup de coeur pour un restaurant à pâtes indépendant et mettant l’accent sur la qualité maison, cet aspect malheureusement délaissé par les grands noms, j’ai nommé l’Ebullition.

L’Ebullition est un de ces restaurants rapides indépendants de pâtes fraîches et de sauces maison dont l’offre est renouvelée quotidiennement. Situé à deux pas de la Porte de Versailles, face au Palais des Sports et du Parc des Expositions, c’est un endroit idéal pour avaler un morceau avant d’aller déambuler dans les allées d’un salon d’exposition.

Découvert grâce au site de ventes groupées Lookingo, j’ai bénéficié d’un bon afin de profiter d’un repas à deux comprenant une entrée, un plat de pâtes et un dessert à un tarif préférentiel. Une fois sur place, le premier accueil a été on ne peut plus agréable : le responsable des lieux s’est souvenu de notre nom suite à ma réservation téléphonique puis nous a offert un accueil personnalisé en nous expliquant très clairement le principe de son restaurant. Mieux, chacun des entrées, sauces et desserts nous ont été présentés avec passion en nous indiquant les petits détails de préparation maison pour chacun d’eux.

Fort de ces explications du chef, nous avons pu choisir consciencieusement ce qui composa notre repas. Après une longue hésitation, nous avons choisi une jolie salade océane en entrée avec des Malfatti ricotta & épinards – une sorte de ravioles – avec une sauce Pesto verde (basilic, pignons, noix, ail, Gran Padano, huile d’olive) pour ma part et des classiques tagliatelles sauce Pesto rouge (tomates séchées, herbes aromatiques, huile d’olive) pour ma compagne en guise de plat principal. Le choix du dessert, ou petite douceur dans le langage de la maison, fut encore plus cornélien, chacun d’eux vous regardant d’un oeil charmeur. Mon choix s’est porté sur un irremplaçable tiramisu maison tandis que ma compagne s’est aventurée sur les sentiers d’une crème canelle aux Spéculos. Sans regret selon ses dires.

Particularité de l’Ebullition : l’endroit permet de marier judicieusement la rapidité et l’efficacité d’un fastfood avec l’attention et le confort d’un restaurant traditionnel. La commande est passée et réglée au comptoir tandis que les plats sont préparés dans l’instant et vous sont servis à votre table, avec le sourire, dans de jolis bols avec de vrais couverts.

Ce ne sont que des pâtes me direz vous… Mais, croyez-moi sur parole, ce sont des pâtes goûteuses ! Pour avoir déjà fait l’expérience des autres grandes chaînes de bars à pâtes, il n’y a pas de comparaison qualitative possible !  Je ne me retiens donc pas pour vous recommander chaudement ce petit restaurant de pâtes loin des stéréotypes du fastfood sans âme ni chaleur. Eric, le responsable d’origine suisse, vous y accueillera avec le sourire en vous présentant avec passion ses préparations du jour qui ne manqueront pas de réveiller vos papilles.

L’Ebullition, Paris

Star-makeup.fr

Afin de vous montrer que ce blog est bien dédié à un public aussi large que mixte, un petit article totalement féminin de temps à autre ne fait pas de mal !

Quoi de mieux que de commencer les festivités avec un test qui sera susceptible d’intéresser 99 % des femmes d’aujourd’hui, j’ai nommée le maquillage.

Qui n’a jamais, en tant que femme, passé son temps à farfouiller les rayons et les boutiques en quête inespérée du fond de teint idéal, de celui qui tiendra toute la journée sans tâcher ni vous donner un teint de carotte trop cuite, et qui de surcroît ne vous coutera pas un bras tous les mois à renouveler.

Les plus fortunées d’entre nous auront le plaisir de se faire conseiller dans un magasin spécialisé et de s’équiper en grandes marques, souvent gage de qualité. Pour les autres, la tentation de se faire plaisir avec des grandes marques de cosmétiques à petits prix en profitant des sites de maquillage en ligne se fait de plus en plus ressentir. D’autant plus que ces boutiques de cosmétiques se démultiplient à une vitesse considérable ces derniers temps.

Aujourd’hui, j’en ai choisie une parmi tant d’autres et j’ai testée pour vous l’achat de maquillage en ligne sur la boutique Star-makeup.fr

 

Je suis tombée sur ce site un peu par hasard après quelques recherches rapide sur Google en quête d’un site de maquillage à prix cassés. En quelques coups d’oeil sur les promos, je tombe sur un coffret de maquillage Gemey Maybelline composé d’un fond de teint poudré, d’une poudre finition, d’un correcteur et d’un blaireau proposé au prix de 8 euros au lieu de 40 euros. Après quelques regards rapides sur les avis plutôt positifs concernant Star-makeup.fr, je me lance sans prendre trop de risque et commande en me disant que pour 11 euros (3,99 euros de frais de ports), si jamais je reçois mon colis, ça ne peut être une mauvaise affaire. Au final, colis reçu au bout de quelques jours, plutôt bien emballé et le coffret est conforme à la description, RAS. Toutefois, gare aux avis trouvés sur internet : j’ai remarqué seulement plus tard que les rares commentaires élogieux concernant la boutique était en fait écrit exclusivement par la même personne…

Toutefois, forte d’une première expérience positive, c’est tout naturellement que je suis retournée sur ce même site quelques temps plus tard pour repasser une seconde commande, cette fois-ci d’un montant plus conséquent. De la même façon, les produits me sont parvenus assez rapidement dans une petite boite Lettre Max, avec l’adresse renseignée à la main, le tout soigneusement emballé. Bonne première impression au déballage, comme lors de la précédente commande.

Ce n’est qu’au deuxième coup d’oeil que la déception est grande : sur les trois produits commandés (deux fonds de teint liquide et une poudre compacte L’Oréal), deux d’entre eux présentaient des signes flagrants d’utilisation préalable, loin des dires du site prétendant vendre des articles 100 % neuf. Vous qui êtes habituée des maquillages, vous devez toutes savoir que tous les articles cosmétiques neufs sont scellés. Or, tenez vous bien, aucun de ceux que j’ai reçu lors de cette seconde commande ne l’était !

1) Les flacons de fond de teint liquide présentaient tous les deux une trace nette de rupture du scellé avec ce qui s’apparente à une trace de cutter. Et à première vue, le flacon me semble bien léger ou bien peu généreusement rempli alors que le second a déjà commencé à se déverser dans le bouchon…

2) La poudre L’Oréal, habituellement vendue en boutique dans un emballage cartonné et scellé, est reçue nue sans emballage. De ce fait, le boitier présente déjà de nombreuses rayures et marques diverses. Rien de grave dans l’absolu mais c’est toujours déplaisant pour un produit prétendu neuf. Mais bien pire, la poudre présente d’ores et déjà des traces d’utilisation.
Je m’explique : tout produit cosmétique de type poudre compacte présente, à l’état neuf, un léger motif uniforme de quadrillage sur sa surface, attestant de la non-utilisation de ce dernier. Mesdemoiselles, si vous ne l’avez jamais remarquée jusqu’à présent, prêtez-y un regard plus attentif lors de votre prochain achat. Mais revenons au sujet : sur mon produit en question, ce joli motif géométrique  a disparu sur plusieurs endroits laissant supposer le passage d’une éponge à maquillage ou le doigt d’une testeuse en herbe… Encore une fois, rien de dramatique mais toujours à replacer dans un contexte de produit dit neuf.

Sans tarder, je saisis ma plume virtuelle pour adresser un premier mail de mécontentement au service client du site afin d’avoir des explications concernant l’origine des articles vendus sur la boutique. Une première réponse ne tarde pas à me parvenir m’expliquant que l’ensemble des produits vendus sont neufs et qu’aucun article n’est testé. Il est alors impossible de leur point de vue que mes articles aient été reçus dans l’état que je décris. Insatisfaite de la réponse, je persiste en précisant qu’à défaut d’une réponse convenable de leur part, je souhaiterais pouvoir retourner les articles à leur frais pour un remboursement intégral de ma commande. Ayant dépassée la période des 7 jours après réception (retour de vacances oblige), le service après-vente ne peut malheureusement se proposer de récupérer mes articles. Finalement, après quelques allers-retours, le service client m’accordera un remboursement de la commande de la part de Star-makeup.fr, sans reprise des articles, sans avouer non plus l’origine suspecte des produits. On m’avoue juste à demi-mot que les produits sont achetés en lots importants afin d’expliquer ces prix agressifs.

Pour conclure, le dilemme de l’achat de cosmétiques de marques à un prix raisonnable reste entier. L’expérience que j’ai vécue n’est pas la plus réconfortante pour vous orienter sur l’achat en ligne de tel produit. Le choix d’un produit de maquillage restant un choix personnel, propre aux affinités de chaque femme, qui nécessite souvent du temps, des essais et parfois même un peu de chance, ce type d’achat reste donc difficile à réaliser en ligne à moins de bien connaître le/les produit(s) recherché(s).

 

Salon paris games week 2011

En ce samedi glacial à vous rappeler qu’il n’est plus temps à pavaner dehors, bon nombre d’entre nous recherchons désormais des activités couvertes afin d’occuper nos weekends.

Coup de chance pour les habitants de la capitale, il se tient en ce moment même quatre salons différents à la salle d’exposition de la Porte de Versailles, de quoi vous occuper ce week end :

– La Foire d’Automne du 15 au 24 octobre 2011
– La Kid Expo du 21 au 24 octobre 2011
– Le 17ème salon du chocolat du 20 au 24 octobre 2011
– Le Paris Games Week du 21 au 25 octobre 2011

C’est sur ce dernier salon que nous allons nous attarder un moment car j’ai testé pour vous aujourd’hui le salon du jeu vidéo Paris Games Week 2011.

Le Paris Games Week tient en ce moment même et avec succès sa deuxième édition, ce qui vous donnera l’occasion de rencontrer l’ensemble des acteurs de l’industrie vidéo ludique. Cette année, plus d’une trentaine de constructeurs, éditeurs et accessoiristes vous feront découvrir et prendre en main en avant-première toutes les nouveautés qui seront sur le marché d’ici les fêtes de fin d’année. Par ailleurs, de nombreuses animations, des démonstrations, conférences, séances d’essais libres et des concerts ponctueront votre visite. Au rang des nouveautés de cette édition 2011 : la présence de l’ESWC (Electronic Sports World Cup) et la finale du FISE (Festival International de sports Extrêmes) en plein coeur du salon !

Choisir le samedi pour se rendre au PGW (Paris Games Week) n’est pas le choix le plus judicieux qui soit : pour ceux qui n’ont pas acheté par avance leur entrée dans les différents espaces de vente (type FNAC, Digitick etc.) devront s’armer d’une patience à l’épreuve du froid ! Pour sûr, la longue queue à l’extérieur ne sera pas le meilleur moment de votre visite. Premier conseil : achetez votre entrée avant d’y aller. Astuce supplémentaire de la part d’AvezVousTesté.fr : pour les adhérents FNAC, 1 entrée achetée = 1 entrée offerte !

Une fois les portes franchies, à vous les décibels, les spotlights, les nouveautés et … la foule ! D’emblée, force est de constater que l’endroit est exiguë pour un tel évènement : même si les 22 000 mètres carré du pavillon 3 pourraient sembler suffisant à première vue, face à l’espace occupé par les différents stands, il reste au final bien peu de place pour caser les milliers de visiteurs qui s’agglutinent tant bien que mal devant les bornes d’essais. La circulation dans les allées est périlleuse et les bousculades deviennent rapidement la norme. Dommage de ne pas avoir prévu plus d’espace pour un évènement de cette envergure.

Par chance, si vous parvenez à mettre la main sur une borne d’essai après quelques minutes de queue, vous apprécierez sur plusieurs stands de recevoir un petit « goodie » de remerciement dans l’esprit du jeu essayé. A titre d’exemple, les meilleurs temps sur Sonic Generations (prochainement disponible sur XBox, PS3 et 3DS) seront récompensés d’une coiffe bleue rappelant l’hérisson supersonique. Nous apprécions le geste même si la gestion de la foule devant les bornes de jeux est chaotique car inexistante. Second conseil d’AvezVousTesté.fr : sachez vous imposer fermement face aux petits montres si vous voulez avoir l’espoir de toucher une manette !

Les blockbusters de cette fin d’année que sont les frères rivaux Call of Duty Modern Warfare 3 d’Activision et Battlefield 3 d’Electronic Arts ont respectivement un stand d’essai au décor de champ de bataille. Les apprentis soldats se sont donnés le mot pour venir en masse jauger ces deux titres phares avant leurs sorties synchronisées prévues le 10 novembre prochain.

De nombreux jeux concours sont organisés autour de plusieurs jeux vidéos laissant la chance aux plus aguerris d’acquérir de nombreux lots. Les tournois SoulCalibur V et Gran Turismo 5 semblent avoir attirés le plus grand succès. Dans un registre moins masculins, les jeunes demoiselles pourront exposer leur dextérité (et leurs jolies formes) sur les derniers Just Dance 3, Zumba Fitness 2 ou encore Dance Central 2. Pour les moins téméraires, l’espace Conférence offre un nombre suffisant de sièges pour assister aux prises de paroles des acteurs majeurs de la scène du jeu vidéo.

Cette année, en plus d’un espace dédié au déroulement des épreuves du ESWC où vous pourrez suivre les exploits d’équipes de jeux lors d’affrontements au plus haut niveau, un skatepark a été monté en plein milieu du salon pour accueillir la finale de la tournée française du FISE Xperience. Une poignée de BMX riders triés sur le volet s’affrontent dans un esprit bon enfant en nous offrant un plaisir visuel inouï.

Dans l’ensemble, le salon PGW 2011 permettra à tous de ce tenir au courant de l’actualité et d’apercevoir les nouveautés de cette fin d’année sans malheureusement pouvoir tous les approcher à cause de la surpopulation ambiante. De nombreux exposants vous permettront également de faire vos emplettes de goodies en tout genre (t-shirts imprimés, figurines, porte-clés, etc.). Nous avons apprécié la grande variété des espaces de jeux et la présence de nombreuses animations sur la majorité des stands. Au rang des déceptions, vous l’aurez compris, un bain de foule rapidement pesant et une organisation approximative sur les espaces d’essais libres laissent un souvenir en demi teinte de ce cru 2011.

http://www.parisgamesweek.com

La compagnie aérienne low-cost Air Méditerrannée

Difficile de prononcer un véritable jugement sur une compagnie aérienne lorsqu’on a le plaisir (ou pas) de la fréquenter lors d’un ou deux trajets. Par contre, le fait d’emprunter la même compagnie quasiment chaque année depuis 4 ans pour partir en vacances permet de mieux prendre du recul et de voir son évolution (ou sa dégression) au fil du temps.

Air Méditerranée est une compagnie française de type charter créée en 1997 avec pour première vocation de servir les grands tour opérateurs et agences de voyages français. Avec la percée des compagnie low-cost (Ryanair, EasyJet, Transavia pour ne citer qu’eux), Air Méditerrannée a décidée de se placer également sur le même segment en proposant des billets low-cost directement aux voyageurs.

Ayant effectué un premier vol avec la compagnie en 2007 à destination de Palma de Majorque à bord d’un Airbus A321, la première impression fut tout à fait correcte avec des horaires respectés et un confort à bord dans la norme pour ces tarifs. Un service de collation et de café était proposé gratuitement aux passagers durant le vol, même de courte durée, et servi par des hôtesses aimables et 100% francophones.

Les années passent mais ne se ressemblent pas, les trois années suivantes ont montrées clairement des signes de déclin quant à la qualité de service : prise en charge succinctes, aimabilité en berne, collations à bord devenus systématiquement payantes.

Mais le point ultime fut atteint la semaine dernière, lors d’un vol Tunis-Paris CDG.

A l’heure de l’embarquement, nous avons eu comme première information que notre avion n’était tout simplement pas disponible, que celui-ci, venant de Paris, n’était pas encore parti de Paris et pire encore, qu’il n’était même pas encore arrivé lui-même à Paris.

Pour résumer, nous apprenons qu’un Boeing 737-500 censé nous ramener à Paris se trouve quelque part dans le ciel, en route pour Paris. Le temps que celui ci se pose, reparte en direction de Tunis et puisse être en capacité de nous embarquer, le retard est estimé d’emblée aux alentours de 4 heures avant d’être reporté finalement à une durée « indéterminée ».

Après quelques heures sous silence sans assistance ni nouvelles, les esprits les plus impatients s’échauffent et exigent légitimement des informations plus limpides et pragmatiques auprès des agents aéroportuaires, sans succès. Ce n’est que vers 19h00 qu’une distribution chaotique de sandwichs et de boissons fraiches est mise en place, distribution qui sera honteusement qualifiée de « prise en charge » par l’attestation de retard remise avant l’embarquement aux alentours de 21h00, soit 6h après l’heure initialement prévue.

Carton rouge donc pour Air Méditerrannée dont la qualité de service est loin des engagements de rigueur et de sérieux prônés par le site officiel. Le peu de considération de la clientèle dont ils ont fait preuve est fort décevant pour une compagnie qui se dit première compagnie française charter moyen courrier.

Site officiel de la compagnie : Air Mediterrannée

Le bar à tapas Casa Paco, Paris

Après avoir passé des vacances pleines de soleil et de tapas aux Baléares, nous avons souhaité avec ma compagne retrouver un peu de chaleur et de parfum de vacances dans un petit bar à tapas de Paris. Ne sachant lequel choisir, nous avons finalement jeté notre dévolu sur le Casa Paco, petit restaurant espagnol du 16ème arrondissement, à quelques pas des Champs Elysées, suite à une offre promotionnelle proposée par le célèbre site Groupon.

Une fois sur place, ambiance calme, il n’est que 19h30 ce qui explique peut être pourquoi il n’y a que 2 clients déjà présent. Une fois installé, on nous invite à donner notre bon de réduction ainsi qu’à commander un apéritif. Restaurant espagnol oblige, je demande volontiers un verre de sangria. Ma compagne moins exotique se contente d’un jus d’orange (malheureusement tout ce qu’il y a de plus industriel).

Aoutch ! En regardant de plus près la carte, mon ballon de sangria que je tiens fébrilement est facturé 9 euros tandis que le verre de jus d’orange est honteusement affiché à 6 euros. Dire que le litre de ce même breuvage espagnol m’aurait couté seulement 6€ quelques semaines plus tôt. Et pourtant à ce moment là, je n’étais pas encore au bout de mes peines.

Nous nous étions préparé à passer une bonne soirée en amoureux… que nenni. Le menu « Dégustation de tapas à deux » (affiché à la carte au prix de 2 x 20 euros) nous a laissé sur notre faim et ce que nous avons eu dans nos assiettes valait à peine l’équivalent de 10 euros chacun. Les petites assiettes de dégustation nous sont arrivés au compte goutte avec à chaque fois à peine de quoi se chatouiller les papilles. C’est pénible et ça devient très vite frustrant. Vous vous retrouvez donc très rapidement à attendre la suite jusqu’au moment où, très vite… il n’y a plus de suite !

Quand bien même nous avions payé notre menu Dégustation à moitié prix grâce au deal Groupon, soit 20 euros pour deux, ce que nous avions dans l’estomac en sortant du Casa Paco n’en valait guère plus.

Notre conseil : si jamais vous avez fait l’erreur d’entrer dans ce restaurant, ne gardez pas un mauvais souvenir des tapas en sortant  mais tentez simplement d’oublier ce qu’on vous a servit pour mieux redécouvrir les joies d’un VRAI bar à tapas lorsque vous en rencontrerez un digne de ce nom !

Casa Paco, 13 rue de Bassano, 75016 Paris

L’Afterwork au Maxim’s de Paris

MaximsCélèbre restaurant parisien situé entre la place de la Concorde et celle de la Madeleine, il est l’un des établissements gastronomiques les plus célébres de la capitale. Très connu également pour ses produits gourmets et son épicerie fine, qu’en est-il lorsque le Maxim’s décide de surfer sur le phénomène mode du moment, les afterworks ?
Mais tout d’abord, qu’est ce qu’un afterwork ?

Le concept, venu des Etats-Unis, a débarqué en France il y a quelques années. Il permet aux plus fêtards de ne pas attendre le vendredi soir mais de faire la fête n’importe quel jour de la semaine tout en étant sûr de pouvoir faire dodo à 1h00 du matin maximum.

Comment ? En n’attendant pas 23h-minuit pour commencer mais en démarrant dès la sortie du bureau à 19h ! Cela commencera doucement avec un petit apéritif dinatoire généralement sous forme d’un buffet froid et plus le soleil descend à l’horizon, plus le son monte et l’ambiance aussi ! Une bonne façon de réconcilier travail et vie nocturne, sans être dans le gaz le lendemain matin.

Sans grande originalité, le Maxim’s se cale à la lettre sur ce modèle : ouverture des portes à 19h00 pétantes pour permettre aux premiers arrivés de profiter d’un rudimentaire buffet froid (un peu de charcuterie, du pain et quelques salades de pâtes). J’insiste sur « premiers arrivés » car les retardataires devront se contenter des restes. Quelques morceaux de cake viendront plus tard clôturer ce buffet.

Point semi-positif, le champagne vous est servi en open bar… jusqu’à 20h30 (hic) ! Dépêchez-vous une nouvelle fois !

L’endroit est chaleureux mais assez étriqué, compartimenté en plusieurs petites pièces. Une belle terasse permettra aux fumeurs de s’en donner à coeur joie.
Ce n’est qu’aux alentours de 21h00-21h30 qu’une ambiance de fête s’installe et que la musique commence à vous inonder les oreilles. Le DJ parvient sans mal à remplir la (trop) petite salle centrale servant de piste de danse qui devient alors méconnaissable. La circulation d’une salle à l’autre, passant obligatoirement par la salle centrale, devient déjà plus périlleuse.

Dans l’ensemble, on y passe un bon moment et l’ambiance est au rendez-vous. La moyenne d’âge des convives, située entre 22 et 30 ans, réservera ces afterworks à un public plutôt jeune.

Nous citerons en point négatif le buffet assez pauvre et peu renouvellé, l’open champagne qui se termine bien trop tôt (les consos par la suite sont hors de portée, 120€ la bouteille de Ballantine’s par exemple), le vestiaire payant et le prix de l’entrée (15 euros en prévente ou 20 euros sur place).

La migration d’un forfait Orange Origami vers Sosh

Sosh-Orange-logo-1Il y a quelques jours, j’ai demandé une migration depuis mon forfait Orange Origami Style 1h vers le nouveau forfait Sosh 2h à 19.90€ tout en gardant mon numéro. Une économie potentielle non négligeable de 15€ par mois pour un service quasi équivalent :

– 2h d’appel VS 1h sur l’Origami (je perds l’option illimité partagé par contre)
– SMS / MMS / Mails illimités sur les deux
– Internet avec data limitée à 500 MO sur les deux (je perds l’option TV inutile mais le regretté Deezer)
– Hotspots Orange illimité

Sosh-forfait-orange-low-cost-tarif-300x228Contrairement à ce que j’ai pu lire sur beaucoup de blogs ou tweets, je n’ai eu aucun problème à demander ma migration, à condition bien évidemment de ne plus être engagé !

5 minutes d’attente au téléphone au 700 (temps d’attente gratuit puis le reste est décompté de votre forfait), une petite vérification de la période d’engagement par l’opérateur et hop ! passage sous Sosh dès la prochaine facture !

Donc si vous répondez aux critères et que votre interlocuteur vous sort des excuses bidons (migration impossible, perte du numéro, obligation de résilier puis de prendre un nouveau forfait Sosh, etc.), arrêtez le tout de suite et dites lui que vous avez lu le contraire et qu’il ne vous aura pas comme un bleu !

http://www.sosh.fr/

Mise à jour : 24h avant la date de migration, un message SMS vous averti du passage à Sosh. J’ignore s’il est impératif ou non de redémarrer son téléphone lors de la journée de migration étant donné que Sosh est sur le réseau Orange mais par précaution, je l’ai fait. Tout roule à merveille, la bascule de mon Origami vers le forfait Sosh 2h a été quasiment transparente pour moi.

Bienvenue !

Bienvenue à toutes et à tous sur ce nouveau blog consacré aux tests des plaisirs de tous les jours

Restos, sorties, coiffeur, pâtissier, parfums, produits hi-tech […], tout ce qui passera dans nos mains (mal)habiles sera soumis à notre jugement afin de vous faire partager le meilleur comme le pire de nos expériences.

Tout ça pour vous laisser le plaisir de ne garder que le meilleur !

Parlez-en à vos voisins et voisines, qu’on se le dise : « Avez-vous testé … ? » est en ligne !

Le restaurant japonais AKI, la maison des okonomiyakis

aki1-e1319122460788-224x300Commençons par ce qu’il y a de plus frais dans ma mémoire, le restaurant de ce midi où il m’arrive de déjeuner de temps à autre entre collègues : le AKI.

Le AKI est un restaurant japonais situé dans la très fameuse rue St Anne dans le 1er arrondissement de Paris. Celui-ci est très largement connu des amateurs de cuisine nipponne pour ses nouilles sautées, ses plats de riz mais surtout pour ses Okonomiyaki.

Mais que cache ce nom imprononçable pour les novices ?

Les okonomiyakis sont une sorte de petite crêpe japonaise faite à base de choux, que l’on peut déguster avec différents accompagnements, viandes ou fruits de mer.

Petit plus du restaurant : si vous avez la chance d’être au comptoir, au sous-sol, le chef préparera ces petites crêpes juste devant vos yeux et vous les servira bien chaude lui-même ! Chaud devant !

Saupoudrée de copeaux de bonite séchée (katsuobushi) et sous l’effet de la chaleur, votre crêpe s’ondule et se met à bouger. Très amusant.

Pour les réticents de la crêpe, le restaurant vous proposera les mets traditionnels que l’on retrouve un peu partout : donburi (plat de riz), yaki (nouilles), et j’en passe. Comptez entre 8 et 13€ le plat. Les formules oscillent entre 11.50€ et 13€ pour un plat, une soupe miso et une petite salade sans réel intérêt.

Point négatif : victime de son succès, le restaurant est très (trop) souvent plein et il faudra être patient. Il est bien plus facile d’y déjeuner que de dîner sur place. Par contre, ne comptez même pas y manger en groupe de plus de 4-5 personnes.

Dernier point : prévoyez des espèces, la carte bancaire est honteusement acceptée qu’à partir d’un montant de 25 € !

Restaurant AKI, 11 rue Sainte-Anne, 75001 Paris