Le NAS D-Link 320 L W Cloud Sharecenter

Petit NAS basique, peu cher mais qui n’offre que des fonctions à la hauteur de son prix.

Petit bémol sur le bruit émis par le ventilateur.

Retour aux sources avec un test geek aujourd’hui: le test du NAS DNS 320 LW de chez D-Link dans sa version blanche (W pour white).

Alors pourquoi tester ce NAS spécifiquement plutôt qu’un autre me direz-vous ? Tout simplement car j’ai eu l’occasion d’en posséder un pendant 3 mois et les offres promos le concernant fleurissent de plus en plus sur la toile. L’occasion pour moi de vous faire part de mon retour d’expérience avant que vous ne franchissiez le pas.

Je vais passer sur les généralités (qu’est ce qu’un NAS, à quoi ça sert, comment ça marche, etc.) et vous laisserez lire un excellent article de nos confrères Cachem sur le sujet.

Si vous avez répondu « Oui » à la question « Ai-je besoin d’un NAS ? » alors la suite est pour vous.

D-Link nous propose ici un NAS compact et élégant, disponible dans un écrin blanc ou noir. Il est important de distinguer cette nouvelle gamme de NAS 320 L avec son prédécesseur le NAS DNS-320 tout court : le nouveau 320 L est plus puissant (1Ghz vs 800mhz, 256Mo de RAM vs 128Mo), plus compact et, semblerait-il, plus silencieux. Je reviendrai sur ce point un peu plus loin.

Ce nouveau NAS intègre surtout la dernière fonctionnalité à la mode : le myCloud de D-Link !

Cette fonction permet  d’accéder aux fichiers partagés avec les applications gratuites pour iPhone, iPad et smartphones Android, quelque soit l’endroit où vous vous trouvez. Ces applications sont téléchargeables sur l’Apple Store (avec iTunes) pour la version sous iOS et sur Google Play pour l’application Android. Elle permet aussi de sauver les photos stockées sur le mobile vers le support de stockage connecté au routeur, à l’instar des célèbres Dropbox ou encore iCloud.

Au déballage, le packaging est classique : le boitier NAS en lui même, les manuels et cd d’installation, l’alimentation, le câble RJ45 et deux poignées à visser sur vos disques dur afin de faciliter l’extraction du NAS. Bonne idée.

On y insère deux gros disques de 2 To chacun, tant qu’à faire, et on prendra soin d’activer le RAID1 lors de la configuration. J’ai tenté d’accéder directement à l’interface d’administration via l’adresse IP du boitier mais rien à faire, obligé de passer par l’assistant de configuration (disponible sur le CD) pour pouvoir enregistrer mon NAS chez D-Link, faute de quoi le cloud ne serait pas actif. Au passage, l’assistant de configuration n’est pleinement opérationnel que sous Windows, Mac users, passez votre chemin ! D-Link se défend de fournir une version de l’assistant sous Mac. Pour l’avoir essayé, c’est une sombre daube. Heureusement que le PC de madame sous Windows 7 était à portée de main pour cette première configuration.

Après m’être battu une poignée de minutes pour faire reconnaître mon NAS par l’assistant (erreur inconnue, NAS non détectée, etc.), j’arrive alors sur la page d’administration avec un premier contact désagréable.

L’interface est basique, elle propose différents raccourcis personnalisables afin d’atteindre les paramètres de configuration du NAS.

Serveur FTP, DLNA, téléchargement autonome de torrents, sauvegarde sur Amazon S3, … sont d’autant de fonctionnalités qu’offre ce NAS D-Link.

Il a fallu pas moins de 72 heurs pour que le NAS scanne et indexe l’ensemble de ma bibliothèque musicale et vidéos. Et grande fut ma déception lorsque j’ai constaté qu’il fallait un rescan complet du NAS à chaque ajout de musique ou de vidéo… Quelle erreur de conception inacceptable !

Aucune remarque désobligeante concernant le serveur FTP et le client torrent qui fonctionnent tout deux correctement. Dommage que l’outil ne soit pas capable de renommer les fichiers et les classer de manière autonome une fois le téléchargement terminé. Mais j’en demande peut être un peu trop.

J’ai eu le plaisir de tester également la sauvegarde Time Machine de mon Macbook sur le NAS de manière automatique, sans souci, bien que l’interface d’administration du D-Link ne soit pas la plus ergonomique qui soit.

Pour les plus bidouilleurs d’entre vous, il existe une communauté plus ou moins active autour des NAS de la marque. Il est ainsi possible d’y installer une surcouche applicative (FFP pour Fonz Fun Plug ou encore une variante de Debian Squeeze) afin d’étendre les possibilités de votre NAS. Ces manipulations étant officieuse, elles peuvent être fatales pour votre matériel en cas de soucis, à réserver donc aux plus avancés. Toutes les infos sur le forum Hardware.fr ou encore le site Bidouilles-numeriques qui propose des tutoriaux très complets, dédiés au DNS 320 L.

Un des défauts les plus gênants de ce NAS provient du bruit produit par le boitier dans son ensemble:

  • Le ventilateur est thermorégulé par le boitier mais il a la fâcheuse tendance à se lancer très voire trop régulièrement.
  • Le point précédent ne serait pas si gênant si seulement ce même ventilateur avait la qualité d’être silencieux. Ce n’est pas le cas, le bruit du ventilateur à pleine puissance est aigu et soutenu, rendant le choix de l’emplacement du NAS  assez stratégique lorsque vous aborderez cette question
  • Les vibrations des disques dur ne sont pas (ou très mal) amortis par le support du boitier. Ainsi, elles seront directement transmises au meuble sur lequel le NAS sera posé. Désagréable.
  • La fonction d’économie d’énergie du NAS force l’arrêt des disques après un temps donné. Or le NAS semble devoir accéder à ces mêmes disques plutôt régulièrement (et parfois de manière incompréhensible) ce qui fait redémarrer la rotation. Un redémarrage de disque = un bruit supplémentaire.

Ces petits zones d’ombres m’ont finalement poussées à me séparer de ce NAS D-Link seulement 3 mois après en avoir fait l’acquisition. J’ai depuis remis mes disques dans un boitier NAS de chez Synology, la Rolls Royce des marques de NAS selon moi. Interface ultra ergonomique, configuration facile, communauté active et pléthores d’applications étendant les possibilités du NAS à portée de main, on est à l’opposé extrême de ce que j’ai pu trouver chez D-Link. Le hic : les boitiers nus chez Synology démarre au tarif de 150€, là où le D-link 320 L se vend avec au moins un disque de 1 voire 2 To au même prix. Nous aurons peut être l’occasion d’en rediscuter plus tard lors d’un prochain test

Toutefois, si vous ne recherchez pas de fonctionnalités avancées, que vous avez un budget limité, qu’un NAS rime avec « disque réseau offrant des données accessibles par toute la famille » et rien de plus, D-Link offre une prestation tout à fait convenable pour un tarif plutôt contenu. Soyez juste rigoureux lors du choix de l’emplacement du boitier, l’idéal étant de le placer dans une pièce de vie peu passante (bureau, arrière cuisine, etc.)

La literie Sombed de Pixmania

Abordable mais la qualité ne semble malheureusement pas au rendez-vous. A réserver à un usage d’appoint. Abordable mais la qualité ne semble malheureusement pas au rendez-vous. A réserver à un usage d’appoint.

On sort des sentiers battus avec un essai peu commun. Aujourd’hui, je m’attaque au marché nébuleux de la literie !

Savez-vous qu’au cours de votre vie, vous passerez environ un tiers de votre temps dans votre lit ? Pour faire la sieste, pour cocooner ou pour toute autre activité diurne ou nocturne…   autant s’équiper convenablement pour prévenir tout problème de dos ou d’insomnie !

Autant il y a beaucoup d’éléments sur lesquels il est possible de lésiner sur la dépense, autant devoir mettre les moyens pour s’équiper convenablement d’une literie digne de ce nom, je ne peux que vous y encourager.

N’ayant trouvé quasiment aucun retour sur la marque de literie SOMBED sur la toile, il était temps d’y mettre mon grain de sel et de faire profiter à la communauté de mon essai.

Sur le marché de la literie, une quantité impressionnante de marques se disputent les parts de marché, vantant leurs innovations maison et leurs bienfaits pour vous offrir le plumard le plus doux, le plus aéré, le plus ferme, le plus ergonomique…

Bien évidemment, il y a d’abord les grandes marques que tout le monde a au moins entendu un jour ou l’autre : Epeda, Simmons, Dunlopillo, Bultex, Sealy, j’en passe et des meilleurs. Et toute une ribambelle de marques de distributeur, moins connues, qui inondent le marché notamment sur internet.

En 2011, le géant de la distribution en ligne Pixmania a décidé de diversifier sa gamme de produits en lançant ambitieusement sa marque de literie maison: Sombed. La marque Sombed propose des produits de fabrication 100% française et traditionnelle, avec une gamme de 250 références. Elaborée sur mesure et en exclusivité par les spécialistes literie de Pixmania, elle se veut d’un excellent rapport qualité/prix. De plus, la literie Sombed est expédiée sous 24-48h lorsque l’article choisi est en stock. A souligner qu’avec Sombed, c’est la première fois que Pixmania fait fabriquer ses propres produits.

Une marque jeune mais qui souhaite mettre en avant la qualité et la tradition française dans ses produits: parfait alors, moi qui cherchait un nouveau sommier 160 x 200 cm pour aller avec mon nouveau matelas Simmons Lotus (acheté en magasin parce que oui, il FAUT tester les matelas en magasin avant d’acheter), je ne peux que donner une chance à Sombed en vu de l’acquisition d’un sommier. En effet, difficile de résister à l’offre : là où les grandes marques précités plus haut débutent leurs gammes de sommier 160*200 aux alentours de 350/400 €, Sombed propose ses sommiers tapissier aux alentours de 200/250€ dans les mêmes dimensions. Mieux, pendant les soldes été 2013, j’ai décroché un sommier Sombed tapissier 160*200 à 99€ seulement ! A ce prix, inutile de préciser que l’hésitation a été courte.

Autre point sur lequel Pixmania fait fort, ce sont les frais de livraison. Là où d’autres grands distributeurs (CDiscount pour ne pas le citer) vous facturent plus de 50€ de frais de livraison pour ces articles dits encombrants, Pixmania s’engage à vous livrer votre sommier de 2 mètres par transporteur en moins de 7 jours pour « seulement » 20,89 €. Banco, je signe et dégaine ma carte pour commander.

Commande passée le samedi soir, livraison le mercredi d’après par transporteur privé (Adrexo dans mon cas). Première surprise à la livraison, le sommier tient dans deux longs et étroits cartons de deux mètres de long sur une vingtaine de centimètres de large. Fichtre, il va falloir monter le sommier entièrement…

On déballe, on assemble les bouts de bois, on visse pendant des heures jusqu’à se faire des ampoules, on met la housse immettable et on a enfin son sommier « tapissier » . Je remarque que la qualité du bois utilisé pour les lattes me semble assez pauvre, on est loin des lamelles de bois nobles et bien taillés et plus proche du bois de cagette. On manque de se manger des échardes à chaque manipulation, dommage.

Pour l’anecdote, je n’ai pas réussi à enfiler entièrement la housse, ou plutôt à la zipper autour du sommier. En effet, le zip m’est resté dans la main au bout du deuxième et dernier essai… Tant pis, la housse sera juste enfilée comme un drap sur la structure.

Une fois redressé, j’y installe un ancien matelas de la bonne dimension pour servir de couchage d’appoint aux beaux parents le temps d’un week-end. A leur départ, je soulève le sommier pour constater qu’une latte n’a déjà pas survécu au simple test du couchage d’appoint pour deux personnes. Déception. Une réparation express à la colle à bois s’impose donc.

J’en viens à penser que la qualité se mérite et qu’à 100€, pensant faire une excellente affaire, je ne pouvais espérer avoir un sommier de qualité digne de ce nom. Je n’ai pas eu l’occasion de tester les matelas de la marque mais cette mauvaise expérience ne m’en donne guère l’envie.  D’autant plus que je maintiens mes propos dit plus haut : autant acheter un sommier sur internet, ça peut passer; autant un matelas, CA SE TESTE EN MAGASIN ! Quitte à essayer de retrouver exactement la même référence sur internet par la suite mais rien n’est moins sûr. En effet, j’ai remarqué que beaucoup de grandes marques éditent des références distinctes pour les distributeurs locaux et le marché en ligne. Ainsi, difficile de retrouver le même matelas vu chez Conforama/But une fois chez soi sur son ordinateur. Mesquin mais malin.

Tant pis, mon nouveau matelas Simmons ira sur mon ancien sommier et ce nouveau sommier Sombed gardera son titre de sommier d’appoint pour la chambre d’amis, avec ses 12 lattes restantes il pourra toujours se targuer de pouvoir accueillir encore quelques convives…

SKØLL Tuborg, la bière fraîchement venue du Nord

Summary:

Frais et rafraichissant, cette boisson remplit son contrat haut la main. Dommage que le prix puisse être un frein important à l’achat.

L’été pointe enfin le bout de son nez, il est temps de sortir vos lunettes de soleil, crème solaire, barbec’ et de déguster une bonne mousse avec vos amis autour d’un apéro ! En parlant de petite mousse, la communauté marketing TRND m’a gentiment  proposée de découvrir la nouvelle bière des brasseries Kronembourg tout au long du mois de juin. Petit feedback après un mois de dégustation, avec modération

Grand amateur de bières en tout genre (préférence pour la blonde et la rousse), c’est d’abord avec une légère appréhension que j’ai découvert cette nouvelle boisson. Bouteille bleue électrique, aromatisée artificiellement aux agrumes (pamplemousse, citron vert) et à la vodka, la première suggestion visuelle et gustative peut en refroidir quelques uns. Une fois décapsulée grâce à l’ingénieux système sans décapsuleur, la SKØLL laisse s’échapper une fine odeur de bière blonde fraîche et fruitée. Afin de gommer toute appréhension dû à la couleur de la bouteille, je vous conseille ensuite de servir la boisson dans un verre à bière qui mettra sa jolie robe blonde à son avantage. Au service, la SKØLL ne mousse pas beaucoup et finalement à l’œil nu, rien ne sépare la SKØLL d’une bière blonde classique. Et non la bière n’est pas bleue !

 

Portons maintenant le breuvage à nos lèvres: ce sont d’abord les arômes de citron vert qui gagnent en premier notre palais. L’arôme de pamplemousse se fait quant à lui beaucoup plus discret. La fraîcheur d’ensemble de la bière mêlée aux parfums d’agrumes confère une sensation de rafraîchissement agréable. Vient ensuite la touche de vodka, plus brutale et persistante, qui procure une finale en bouche franche et marquée. Pour ceux qui comme moi n’ont jamais été de grands amateurs de vodka, ce goût prononcé peut s’avéré gênant, gâchant le plaisir fruitée initié par la note d’introduction. Moindre mal me dirait vous, il n’y a qu’à en reprendre une bonne gorgée pour recommencer ! En creusant un peu mes souvenirs, je dirais que la SKØLL s’approche beaucoup d’une Smirnoff Ice par sa fraîcheur et sa touche vodka tout en offrant le plaisir de boire une bonne bière et non pas une espèce de limonade trouble.

J’ai également eu la plaisir de partager un bon paquet de bouteilles SKØLL avec mon entourage à l’occasion de mon anniversaire. Verdict unanime : c’est une bière qui plaît, surtout quand il fait 30°C dehors !

 

La bière SKØLL Tuborg est disponible en différents formats : en bouteille de 33 cl, en pack de 3 bouteilles de 33 cl, en boîte de 50 cl et en bouteille de 66 cl.

Prix indicatif conseillé :
ø En pack de 3 bouteilles de 33 cl : 3,95 €
ø En boîte de 50 cl : 1,80 €
ø En bouteille de 66 cl : 2,57 €

Disponible en grandes surfaces, hypermarchés et supermarchés, magasins de proximité, sites de vente en ligne et bars.

le site de déstockage privé Vente-du-diable.com

Des offres qui paraissent alléchantes mais qui s’avèrent moins qualitatives que prévues

 L’été pointant enfin le bout de son nez sur notre cher hexagone et les soldes arrivant à grands pas, cette période estivale est plus que propice pour se délester de quelques euros et de se faire plaisir en achats compulsifs et/ou nécessaires.

C’est exactement ce que je me suis dit il y a de cela quelques jours.

Cherchant un nouvel ordinateur portable pour ma petite-amie, le sien montrant sérieusement des signes de vieillesse, mon beau-frère me conseilla le site de déstockage en ligne nommé « vente-du-diable.com ». Ce dernier me dit que c’est un site qui propose toute l’année des produits hi-tech à prix cassés défiant toute concurrence.

La raison de ces prix attractifs ? Ce sont des ventes de produits reconditionnés.

Retour d’expérience d’un acheteur échaudé…

Pour les plus néophytes d’entre vous, vous allez me dire : « Qu’est-ce qu’un produit reconditionné ? ».

Un produit reconditionné est un produit d’exposition ou un produit dont l’emballage a été altéré, qui est ensuite enveloppé dans un emballage neuf. Ils sont, en règle générale, neufs ou quasi-neufs. Avec la crise qui sévit, toute opportunité de faire des économies est bonne à prendre ! Mais lorsque vous tombez sur ce genre d’aubaine, une part de méfiance reste de mise et vous auriez tout à fait raison ! Pourtant, avec tous les arguments que mon beau-frère avança pour me convaincre que ce site était au top pour ceux voulant faire de bonnes affaires, cela m’a réellement mis en confiance.

Ni une, ni deux, il me parraine et après une brève inscription, me voilà en train de surfer sur ce site essayant de dénicher la bonne affaire. Le principe reste le même que n’importe quel site de merchandising en ligne. D’ailleurs, le design du site « vente-du-diable.com » m’a beaucoup fait penser à celui de  »vente-privee.com », avec un design quelque peu « cheap ». Guettant la bonne affaire sur un PC portable performant et abordable, ma petite-amie tombe par hasard sur un déstockage de produits hi-tech comprenant aussi bien des smartphones haut de gamme que des grille-pains.

Dans ce méli-mélo de produits en tout genre, un produit retient particulièrement son attention : un ordinateur portable Sony VAIO SVS-1311F3E/W à un prix TTC de 479,99€. Mieux encore, avec un code de réduction de 10€ trouvé sur un site de bons de réducs, le prix du PC tombe à 469,89€.

Je jette un rapide coup d’œil sur les caractéristiques (voir ci-dessous). Le rapport qualité/performances/prix était franchement attractif !

Type de produit Ultra portable
Ecran 13,3 « 
Poids en kg 1,7 Kg
Dimensions (l x p x h) en mm 331 x 24 x 225
Processeur Intel Core i5-3210M
Vitesse du processeur 2.5 GHz (jusquà 3.1 GHz avec Intel Turbo Boost technology)
Système d’exploitation Windows 7 Edition Familiale Premium 64 bit
Chipset Intel HM76 Express
Mémoire cache externe 3 Mo
Mémoire RAM 4 Go
Type de mémoire RAM installée DDR3
RAM maxi 12 Go
Type de disque dur SATA
Capacité du disque dur 500 Go
Vitesse de rotation du disque dur 5400 tours/min
Lecteur / Graveur Lecteur graveur CD/DVD
Lecteur de cartes mémoire SD/MS
Carte graphique Intel HD Graphics 4000
Webcam intégrée Oui
Résolution de la webcam 1.31 Mpixel
Bluetooth oui
Audio Dolby Home Theater v4
Carte réseau Ethernet 10/100/1000 Mbps
Communication sans fil 802.11 b/g/n + Bluetooth 4.0 +HS
Connecteurs 2 USB 3.0, 1 USB 2.0, 1 HDMI, 1 VGA, 1 RJ45, 1 Kensington Lock, entrée et sortie audio
Dispositif de pointage TouchPad Multi-touch
Type de batterie Jusqu’à 8h00 d’autonomie en mode Stamina, 7h00 en mode Graphics
Caractéristiques complémentaires Clavier rétro-éclairé
Résolution maxi avec mémoire installée 1366 x 768
Nombre de haut-parleurs intégrés 2
Microphone intégré Oui

Juste le temps de régler l’achat et le PC est commandé ! Commande passée le 26/06/2013 et reçue le 01/07/2013, elle s’empresse de le déballer et de le tester.

Dès l’allumage de l’ordinateur, elle constate rapidement que la description était erronée par rapport à la réalité. En effet, il s’avère qu’il n’est pas si neuf que prévu.

Peinture manquante sur les coins du capot de l’ordinateur et touchpad présentant des dysfonctionnements majeures, elle décide à le renvoyer afin d’être remboursée pendant les 7 jours de rétraction dont nous disposons si mécontentement il y a. Elle s’empresse donc de remplir un dossier de réclamation expliquant le pourquoi du comment et une fois crée, un message nous informe qu’on recevra une réponse de leur service clients dans les jours qui suivent (48h au plus tard il me semble).

Aucune réponse au bout de quatre jours et une relance plus tard, nous voyons qu’aucune démarche n’a été engagée de leur part. Excédé et après avoir lu quelques commentaires pas très réjouissants d’autres clients, je suis bien décidé à obtenir gain de cause.

Quelques recherches plus tard, je tombe sur le numéro de téléphone de la SAV (que voici : 05 81 18 79 56). J’ai donc passé toute la journée d’aujourd’hui a tenté de les appeler.

Cinq coups de fil de vingt minutes chacun et une bonne migraine plus tard, je réussis enfin à avoir une personne me donnant la marche à suivre pour un remboursement total de ma commande.

La démarche est la suivante :

  • Réception du mail contenant la démarche à suivre pour le renvoi du produit défectueux dans les 48h après l’appel, en espérant que je le reçoive un jour…
  • Renvoi du PC portable par voie postale à l’adresse indiquée dans la procédure.

Après confirmation de la réception du PC par « Vente-du-diable.com », je serai re-crédité sur mon compte bancaire avec lequel j’ai réglé la commande dans les 5 à 8 jours.

Petit conseil :

Si vous êtes dans la même situation que moi mais que vous n’avez pas beaucoup de temps à leur consacrer,  procéder de cette manière :

  • Créer un dossier de réclamation dès que vous constatez un problème sur le produit.
  • Appeler leur service clients au numéro ci-dessus avec les informations suivantes :
  1. N° de la commande
  2. Date de réception de votre commande
  3. Et n° de série du produit si celui-ci est électronique ou informatique.

Voilà ! Je n’ai plus qu’à attendre et croiser les doigts…

Pour terminer, s’il y a bien quelque chose à retenir de cette expérience:  si vous ne voulez pas vous retrouver dans la même situation que la mienne et rester des heures à écouter la musique irritante de leur répondeur, rendez-vous service et NE COMMANDEZ PAS SUR CE SITE !

Cela vous économisera de l’argent et surtout du temps que vous n’avez pas forcément pour parler à leur SAV.

Pour continuer à faire de bonnes affaires hi-tech, je vous recommande le flux RSS du site LesNumeriques.com qui compile pour vous les bons plans geek de la journée, dénichés par les internautes du site : http://www.lesnumeriques.com/soldes-ete-informatique-high-tech-e1215.html

Les bons plans Dealabs / SerialDealer / LesBonsTuiss

Crise oblige, vous êtes constamment à l’affût de la bonne affaire afin de consommer malin et moins cher.

Autrefois cantonné à attendre patiemment les soldes ou les déstockages pour flairer la bonne affaire, Internet permet aujourd’hui de dénicher la promo choc aux quatre coins de la planète d’un coup de clic. Pour aller encore plus loin, de nombreux sites se sont spécialisés dans le relayage de bons plans afin de faire profiter des bons plans flash au plus grand nombre d’entre nous. Revers de la médaille : tout va vite, TRÈS vite, charge à vous de dégainer votre meilleur clic pour profiter des plus belles réductions du web.

Accro aux bons plans, j’avoue être constamment en train d’éplucher les promos du net. Il est parfois pénible de sauter de site en site afin de faire le tri sur les vraies bonnes affaires et les fausses promotions sur des prix préalablement gonflés pour l’occasion. C’est ainsi que sont nés les sites de bons plans, répertoriant de manière collaborative les meilleurs affaires dénichées par les internautes eux-même.

Parmi les leaders du secteur, je me surprends à regarder plusieurs fois par jour des sites tels que Dealabs.com ou encore SerialDealer.fr

Ces deux sites jouent sur le même concept : permettre à tout un chacun de partager sa perle rare dénichée sur Internet. Une fois partagée, chaque trouvaille s’apparentera alors à un « deal » qui sera noté par la communauté en fonction de l’intérêt suscité. Et cela va évidemment TRÈS vite lorsque le deal publié se révèle être une affaire insaisissable : en quelques minutes voire poignée de secondes, la boutique ciblée par le deal peut alors se retrouver dévalisée par les « dealers » créant ainsi un fort sentiment de frustration auprès des plus lents n’ayant pu profiter à temps de l’offre.

Autre effet pervers du concept, les dealers sont impitoyables sur les erreurs de prix des sites e-marchands. Dès qu’un membre semble avoir flairé une coquille sur un prix, il peut malgré lui déclencher l’émeute chez le pauvre e-marchand en relayant simplement le deal à la communauté. C’est la triste expérience qu’a vécue il y a peu de jours la FNAC en vendant des Nintendo 3DS au prix de 59 € (au lieu de 199€). Il a été évoqué le nombre de 12000 commandes en l’espace de 10 heures seulement.

Difficile de définir l’origine de cette mode des deals collaboratifs. Certains attribuent la paternité au site de bons plans HotUKDeals qui cartonne de l’autre côté de la Manche.

Pour ma part, je suis complètement fan du concept ! Je repère un bon plan sur le site ? j’en profite et je partage.  Je repère moi-même un bon plan ? même chanson ! Je me fais plaisir en économisant de l’argent, la communauté en profite et économise de l’argent, le commerçant vide son stock et se fait de l’argent. C’est un deal gagnant-gagnant-gagnant, quoi de mieux ? L’effet pervers du principe est de déclencher parfois (voire souvent) des pulsions d’achats compulsives face à une réduction trop alléchante pour un article dont vous n’avez que faire ! Tachez de vous fixer des limites pour ne pas déraper et vous retrouver avec 100 paquets de lessive à 5€ au lieu de 50€.

En vrac, depuis 2 mois, j’ai déjà acheté des coffrets blurays à 10€ au lieu de 50, des trottinettes à 6€ au lieu de 30, un manteau à 20€ au lieu de 100, des jeux vidéos à 15€ au lieu de 60, des téléphones à 20€ au lieu de 100, j’en passe et des meilleurs ! De plus, les sites étant communautaires, les internautes peuvent se conseiller entre eux et permettre ainsi d’éviter les arnaques sur des deals qui paraîtraient trop alléchants.

Sur le banc des outsiders, LesBonsTuiss.com joue la carte de la proximité des deals avec les internautes. Commerces de proximité, événements locaux, la plateforme met en avant un catalogue de réductions et d’offres en tout genre à proximité de chez vous. Des restaurants de votre quartier font une belle promo ? Votre supermarché offre des échantillons gratuits ? Le camping à 20km de chez vous fait une ristourne ? vous le saurez sur LesBonsTuiss.com. Le site offre bien entendu un mode national permettant de parcourir les offres valables sur l’ensemble du territoire, à l’instar de ces concurrents. Dernière différence notable : « tuisser » peut vous rapporter de l’argent. Lorsque vous posté un deal auprès de la communauté (on appelle ça « tuisser » sur LesBonsTuiss.com), votre bon plan est analysé par un membre de l’équipe. S’il est sélectionné, vous gagnez automatiquement 0,10 € et participez au concours des TopTuiss pour gagner jusqu’à 100 €.

Par ailleurs, le site LesBonsTuiss.com s’est dernièrement fait remarqué par une opération marketing inédite : proposer à la vente, pour les plus rapides, des cartes de carburants d’une valeur de 20 € pour seulement 10 € déboursé. On peut résumer ça par : « pour les plus rapides, nous vous offrons 10 € gratuitement sur votre plein ». Une opération qui a vraisemblablement fait parler d’elle mais qui a du également faire beaucoup de déçus. A 19h00 pétantes, heure d’ouverture de la vente, l’affluence était au rendez vous et l’achat d’une carte relevait presque du défi impossible. Par je ne sais quel miracle, après un F5 (rafraîchir la page web pour les néophytes) sur une page affichant pourtant le deal comme « expiré », j’ai réussi à devenir quelques clics plus tard l’heureux propriétaire d’une carte Jubileo, valable dans toutes les stations Total, Elf et Elan jusqu’à fin mai 2013. Prise de contact cordiale, envoi rapide, merci LesBonsTuiss !

Pour terminer, je recommande également pour les flemmards le site BetaDeals.com qui est un agrégateur de bons plans venant des sites précités au dessus (et d’autres encore !). Défaut majeur de ce principe, les deals apparaissent avec une latence de quelques minutes. Largement suffisant pour vous faire rater LA bonne affaire.

Les skins pour iPhone de Stickers2ouf

 sticker2ouf

Décidément les stickers sont à la fête en ce moment et nous avons aujourd’hui le plaisir de partager avec vous le test d’un skin (comprenez « déguisement » ou « seconde peau ») pour iPhone. Après avoir décoré votre Macbook en faisant votre shopping chez Stickers2ouf ou encore i-Stickers sur nos conseils éclairés, avez-vous peut être envie de récidiver en rajoutant une touche colorée à votre smartphone ? C’est ce que je vous propose de découvrir aujourd’hui avec le test du skin complet pour iPhone « StickerBomb » de chez Stickers2ouf.

Comme à son habitude, Stickers2ouf ne rompt pas avec sa rapidité d’expédition des commandes exemplaire. Moins de 24h après confirmation d’envoi, l’enveloppe est dans votre boîte aux lettres !

Dans l’enveloppe, rien de plus simple, le pack de stickers est livré dans son sachet avec une petite chiffonnette qui vous servira à dépoussiérer le terrain avant de vous lancer à l’ouvrage.

La pose du skin ne pose aucune difficulté particulière, le vinyle utilisé pour la fabrication des stickers est de qualité et se colle/se décolle sans résistance. Bien que la fiche descriptive indique l’utilisation de vinyle de marque 3M (référence de longue date sur le marché), nous avons reçu notre pack sur du vinyle de la marque Arlon. Peu connue en France, cette marque propose tout de même une large gamme d’imprimables de qualité.

N’hésitez donc pas à réajuster vos collages pour avoir un résultat parfait. Un bon résultat est d’autant plus facile à obtenir car la découpe des différents éléments est précise, les raccords sont parfait au millimètre près. De même pour les ouvertures (bouton de mise en silencieux, port jack, enceintes, etc.), l’emplacement des trous est parfaitement ajusté, aucun problème de décalage à relever.

Une fois le collage terminé, le résultat est flatteur mais une question nous vient à l’esprit : mais à quoi peut donc servir le dernier sticker restant ? Le sticker prend, théoriquement, l’emplacement de l’écran mais difficile de l’utiliser sans rendre l’iPhone inutilisable !

Seconde remarque : mais comment vais-je faire pour retirer ma carte SIM le jour où j’aurais besoin de la changer ? En effet, si Stickers2ouf a bien pensé à faire les bonnes découpes pour les différentes ouvertures nécessaires à l’utilisation quotidienne de votre iPhone, il semblerait que l’emplacement de la carte SIM soit passé à la trappe lors de la conception… Dommage.

Autrement, rien à redire, Stickers2ouf offre cette fois-ci un produit de grande qualité à la découpe précise. A voir maintenant la pérennité du vinyle avec le temps, les frottements et l’usure.

Notez que Stickers2ouf, contrairement à beaucoup de revendeurs d’articles du même acabit, est un fabricant et distributeur de ses propres produits. Le marchand est alors responsable et garant de la qualité de ses propres produits. A l’écoute des remarques des clients, n’hésitez pas à leur faire part de vos suggestions d’amélioration (à l’image de notre test du Domo-kun pour Macbook dont le style de découpe a été modifié et amélioré depuis notre test l’année dernière).

Si vous souhaitez vous aussi tenter l’expérience, vous trouverez une gamme complète de stickers pour iPhone sur le site du marchand. Pour le moment, seul notre modèle en test (StickerBomb, 14,95 €) permet un covering complet du smartphone d’Apple.

 

Les stickers pour Mac / iPhone / iPad de i-Stickers

 iPad de i-Stickers

 

Qualité de produit à la hauteur pour des produits à prix serrés. On regrettera le manque de facilité de la procédure de pose, peu détaillée dans la notice vaguement traduite en français.

Marre de la grisaille de votre MacBook tout aluminium, de votre iPhone tout noir ou de votre iPad tout blanc ? Les stickers sont là !

La tendance est apparue il y a déjà quelques années et j’avais abordé longuement le sujet avec vous l’année dernière en cherchant à donner une petite touche de fantaisie à mon Macbook Air.

A l’époque, j’avais été déçu par deux points :

  • La qualité de la découpe du sticker, plutôt brouillon et non conforme au descriptif de l’article sur le site marchand
  • Le prix

Ayant depuis changé de machine, j’ai été contraint de retirer le sticker Domo-kun afin de fournir à mon acheteur une machine vierge. Après l’achat d’un nouveau Mac, je me suis retrouvé moi même avec une nouvelle machine grise et tristounette. Il était temps d’y remédier grâce aux stickers du site i-sticker.fr

Pour redécorer mon Macbook Air flambant neuf, j’ai opté cette fois-ci pour un sticker plus imposant que mon chétif Domokun de l’époque.

Reçu dans une enveloppe en courrier suivi, le sticker est accompagné d’un film de transfert permettant l’installation sur votre laptop bien aimé ainsi qu’une brève note d’utilisation vaguement traduite. Pour autant, pas besoin d’avoir un Bac+5 pour réussir la pose, il suffit d’un peu de rigueur et de dextérité et le tour est joué.

Etape 1 : on déballe et on dépoussière son Macbook avec un chiffon sec pour éviter d’y coller trop de cochonneries

Etape 2 : On lit la notice et on y lit qu’il faut appliquer soit même le film de transfert sur toute la surface du sticker. Allez-y tout doucement, prenez votre temps pour éviter toute bulle d’air.

Astuce du chef : utilisez une carte (bancaire ou de fidélité) pour « maroufler » toute la surface du sticker afin de s’assurer qu’il collera bien sur le film de transfert sans se déchirer lorsque vous allez peler l’autocollant.

Pour les plus assidus d’entre vous, vous remarquerez que cette étape ne faisait pas partie du collage de mon précédent sticker DomoKun de chez Stickers2Ouf. En effet, le sticker m’était livré préalablement filmé, il n’y avait plus qu’à peler l’autocollant et à l’appliquer sur l’appareil. J’ignore par contre si cela est à généraliser à l’ensemble des stickers vendus chez Stickers2ouf.

Etape 3 : Placez le sticker sur votre Macbook et allumer le logo. Par transparence, centrez le sticker comme vous le souhaitez par rapport au logo de la pomme.

Etape 4 : Une fois que vous êtes sûr de votre coup, décollez délicatement le film de transfert pour le coller directement sur votre Macbook. De même, utiliser une carte pour maroufler (Valérie Damidot sors de ce corps !) toute la surface du sticker pour qu’il adhère bien à votre portable.

Etape 5, ultime étape : Une fois le film entièrement collé sur votre Macbook, pelez délicatement le film en s’assurant que le sticker ne se décolle pas en même temps. Ca y est, vous y êtes !

TADA !

Vu le niveau de détail du sticker, ce dernier a nécessité beaucoup plus d’attention lors du collage que lors de ma précédente expérience. Malgré mille précautions, j’ai échoué à un millimètre près la perfection, mon logo étant légèrement décalé du centre du torse, sans gravité.

Du côté des réjouissances, je suis extrêmement satisfait du rendu final et surtout de la qualité de la découpe du sticker. La découpe est nette, sans bavure ni imprécision comme j’avais pu le constater sur le Domo-kun, rien à redire sur ce point. Le seul regret, non imputable directement au sticker en lui-même, reste la relative difficulté de la pose qui nécessite un poil de rigueur pour ne pas gâcher le rendu final.

Si vous êtes tenté par l’expérience, c’est sur le site i-stickers.fr que ça se passe : grand choix de stickers pour Mac, iPad, iPhone, en noir et blanc ou couleur pour un prix généralement plus contenu que pas mal de sites marchands similaires.

La boutique de bijoux Agatha, Paris La Défense

Cela faisait belle lurette que je n’avais plus écrit une seule ligne pour le blog ! Rassurez-vous, ce n’est qu’une faute de temps… et un peu un problème d’assiduité aussi. Que les plus courageux d’entre vous qui souhaiteraient contribuer au blog lèvent la main !

Je voulais partager avec vous une anecdote vécue par ma copine il y a quelques semaines lorsqu’elle a été confrontée au service après-vente de la boutique Agatha des Quatre Temps (La Défense). Avant cela, petit flashback pour résumer la situation.

Fin Avril 2012, nous nous sommes PACSé (racontetalife.com) Sans vouloir dépenser des milles et des cents mais simplement garder un souvenir de ce moment, ma copine a voulu que nous lui trouvions une petite bague qu’elle pourrait porter à son doigt pour marquer le coup. Seul critère indiscutable : il fallait que ce soit une bague ayant la forme d’un noeud papillon (elle est dans sa période « noeud » en ce moment, après être passé par la période « étoile » puis « petits pois »… Allez savoir pourquoi :’>).

Après avoir écumé la moitié des bijouteries parisiennes, nous sommes tombés un jour par hasard sur la perle rare dans une des boutiques du groupe Agatha à Aubervilliers.

Sans grande hésitation, nous sautons sur l’occasion même si j’émets dès lors quelques réticences sur la pérennité des strass qui composent le noeud. La vendeuse me rassure en évoquant une garantie de deux ans sur tous les produits Agatha, y compris en cas de défauts sur les strass de la bague.

Ma méfiance vis à vis de la bague était justifiée : deux mois après l’achat, malgré une utilisation méticuleuse impliquant un retrait chaque soir ou à chaque lavage de mains, un strass répondait déjà absent dès le mois de juillet. C’est tout naturellement que nous nous sommes alors rendu à la boutique Agatha la plus proche de notre domicile, celle des « Quatre Temps » de La Défense, afin de faire jouer la garantie. Il était inadmissible pour nous de ne rien faire alors que nous nous retrouvions avec un article défectueux après seulement quelques semaines au bout du doigt.

La première approche avec le service après-vente d’Agatha fut plutôt courtoise, nous avions été pris en charge rapidement en boutique où la vendeuse nous expliqua que la bague serait réparée directement en boutique et que celle-ci serait prête d’ici une à deux semaines. On me donna donc un reçu et m’invita à repasser une dizaine de jours plus tard.

Une semaine plus tard, on m’avertit par téléphone que la bague était prête et que je pouvais passer la récupérer à  tout moment. Je me suis présenté en boutique avec ma copine afin de vérifier si la bague lui plaisait toujours une fois la réparation effectuée. Au premier coup d’oeil, tout nous semblait dans l’ordre et nous quittions donc le magasin sans a priori. Le plaisir ressenti par ma copine de retrouver sa bague de PACS n’a été malheureusement que de très courte durée : à peine avions nous fait cinquante mètres (sans exagération) en dehors de la boutique que le même strass avait déjà déserté ! Retour donc à la boutique où la vendeuse n’avait guère l’air surprise. Elle nous expliqua alors qu’une nouvelle employée avait été désignée pour faire les dernières opérations collage et que celle ci s’était trompée dans le mélange de colle à utiliser. Cependant, elle ignorait jusqu’à lors si notre bague faisait partie du lot de bijoux incriminé par la colle défectueuse. Manifestement oui !
Rebelote, on nous ressortit un nouveau reçu et nous devions donc repasser une à deux semaines plus tard le temps que la réparation soit effectuée proprement cette fois-ci…

Je suis donc repassé à la boutique pour la troisième fois une dizaine de jours plus tard afin de récupérer la bague correctement réparée. Etant seul cette fois-ci, je ne me suis pas attarder sur l’inspection des travaux et je suis reparti avec le sachet contenant la bague qui, dixit la vendeuse, avait été réparée avec soin cette fois-ci. Mal m’en a pris de lui avoir fait tant confiance, lorsque ma copine déballa la bague à la maison, nous constations alors que le nouveau strass de rechange n’avait ni le même éclat mais surtout ni la même taille que les autres ! Vu du dessus, le diamètre du strass est bien plus gros que ceux d’origine de la bague. Et vu du profil, ce dernier dépassait même tous les autres d’un bon millimètre ! Je regrette encore de ne pas avoir pris une petite photo d’illustration.

Dès le lendemain, remonté comme une pendule, je me suis représenté en boutique pour demander à ce qu’on me fasse une réparation digne de ce nom ou alors qu’on me fasse un échange standard. En effet, l’échange contre un produit similaire est possible et est clairement mentionné sur le bon de garantie. C’est la responsable de magasin qui est venue prendre en charge mon dossier cette fois-ci. Cette dernière refusa dans un premier temps d’envisager la piste de l’échange et je me suis vu donc proposer une nouvelle réparation, directement à l’atelier de la marque Agatha cette fois-ci. N’ayant pas vraiment d’autres alternatives, je me suis vu dans l’obligation d’accepter et la bague repartit donc pour une dizaine de jours en réparation.

Après plusieurs jours sans nouvelle, on m’annonça par téléphone que la bague été revenue de l’atelier et que je pouvais passer la récupérer. Sans attendre, j’ai foncé le soir même en sortant du boulot en espérant clore cette affaire qui durait que depuis trop longtemps. A première vue, la responsable de la boutique ne semblait pas présente aujourd’hui, c’est donc une vendeuse qui me tendit la bague réparée une nouvelle fois. Je me suis précipité de vérifier la taille du strass immédiatement. A première vue, la taille de ce dernier correspondait bien cette fois-ci. Je me suis presque convaincu (enfin !) que cette réparation était la bonne et m’apprêtait à quitter le magasin quand je remarquais alors un autre détail : le strass qui se trouvait juste à côté de celui qui venait d’être réparé ne semblait plus briller du tout. Je me suis penché sous un spot pour vérifier si ce n’était qu’un mauvais effet de lumière mais le constat était le même, comme si le strass avait été frotté ou poli. Pour imager la situation, c’est un peu comme si vous vous retrouviez avec un pixel mort sur un écran très lumineux :  de loin, on ne voit pas vraiment le défaut mais de près, on ne voit plus que ça !

Hors de moi, j’ai demandé cette fois-ci qu’on arrête de me mener en bateau et qu’on procède immédiatement à un échange standard contre un produit neuf ou bien au remboursement intégral du prix d’achat. La vendeuse n’ayant pas la légitimité de prendre une telle décision m’a demandé de lui accorder un délai de 24h afin de lui laisser le temps de prendre contact avec sa responsable de boutique. Le lendemain, après échange avec sa responsable, elle me rappela comme convenu pour me demander de repasser en boutique afin de procéder à un échange un peu particulier : la responsable boutique était d’accord pour reprendre ma bague défectueuse mais je n’avais pas le droit de choisir un nouvel article de la collection noeud « Sweetnod » car cette collection est considérée comme une collection « à risques ». Collection à risques qui pourtant est toujours en vitrine et vendue sans scrupule à des centaines de clients chaque jour. Madame, en clair si je résume, vous êtes consciente que vous vendez de la m**** et que pour éviter d’autres soucis de SAV, vous ne voulez pas que je reprenne le même article. Pourquoi ne pas en avertir la maison mère pour qu’elle change le procédé de fabrication ou tout simplement pour qu’elle retire la gamme de la vente pour défaut de fabrication ?

Dès lors, nous avions peu de choix : prendre autre chose (alors que nous avions acheté cette bague pour une raison précise, rappelez vous) ou bien nous taire et repartir bredouille avec cette bague a moitié réparée sans la certitude que le strass ne partira plus ou que les autres strass ne perdent miraculeusement leurs éclats sans explication. Ma copine essaya malgré tout de regarder la vitrine en quête d’un autre article pouvant lui plaire mais sans succès. Seule la bague à noeud, la raison première qui nous a poussé un jour à franchir le seuil d’une boutique Agatha, l’intéressait.

Résignés à repartir de la boutique avec notre bague imparfaite, j’ai essayé malgré tout de faire reconnaître à la responsable de boutique que le défaut d’éclats était tout de même flagrant et non le fruit de notre imagination. Je me suis retrouvé alors confronté à une montagne de mauvaise foi, la responsable refusant d’observer attentivement la bague et, devant mon insistance, a fini par jeter un micro regard distrait sans reconnaître un quelconque défaut. A la limite de faire un scandale en plein magasin devant tous les clients, j’ai pris sur moi mais je suis revenu sur ma décision d’en rester là avec cette vieille peau. Après quatre réparations infructueuses, j’exigeais cette fois-ci un échange standard pour une bague identique mais NEUVE. La responsable de boutique sembla étonnée par les chiffres que j’avançais et, comble de l’ironie, elle me demanda même si j’avais un historique des quatre réparations que je mentionnais. WTF ?! Elle  m’annonça que de toute les manières, elle n’avait pas le pouvoir de décision pour procéder à cette échange (ah bon? mais elle sert à quoi alors ?) et que seule la direction de la maison mère était apte à prendre cette décision d’échange à neuf. D’une voix hautaine, elle me prometta de me rappeler dans les prochains jours pour me tenir informé de la décision prise. A peine sorti du magasin, j’entendais déjà cette pimbêche faire des messes basses sur mon compte auprès des autres clients. Inacceptable mais j’ai préféré ne pas rentrer dans son jeu…

Deux jours plus tard, nouvel appel de la responsable en personne : mon échange à neuf avait été accepté par la direction. Sans trop de surprise de mon côté, le contraire aurait été vraiment très étonnant car je pense avoir été dans mon bon droit sur ce coup là. Dernière embûche : la taille de la bague correspond à ma copine n’était pas disponible en stock et a nécessité une commande spécifique : nouveau délai de deux semaines.

Dénouement de l’histoire deux semaines plus tard donc, je suis retourné en boutique pour me retrouver face à mon tyran pour une ultime confrontation. Transfigurée, la responsable m’accueillie avec un sourire (forcée ?) jusqu’aux oreilles, me montra la nouvelle bague étincelante, me fit signer le bon de réception avec la mention « bague réceptionnée en bon état » et me prépara même un joli paquet cadeau comme s’il s’agissait d’un nouvel achat. Se serait-elle fait tirer les oreilles par sa direction ? J’espérais secrètement que oui. Je suis donc reparti de la boutique avec mon joli paquet en espérant ne plus jamais avoir à faire au service après-vente d’Agatha.

Dans l’ensemble, les bijoux Agatha sont affichés à un tarif assez proche des grandes marques pour une qualité qui semble inégale voire même douteuse sur certaines gammes. Pour nous en tout cas, Agatha, c’est fini.

Le retour du monde Android vers iOS

androidboyDeux mois. C’est finalement le temps qu’il m’aura fallu pour délaisser mon smartphone sous Android afin de revenir à mon fidèle iPhone 4S.

Pourquoi me direz-vous ? Surtout après avoir fait tant d’éloges de ce petit bijou qu’est le HTC One S dans un long test ici même. En effet, la question est légitime et mérite quelques éclaircissements sur le sujet. Voyons en trois points ce qui m’a fait rebasculer du monde Android vers le monde Apple.

Argument numéro 1 : Le HTC One S est un bijou

Drôle d’argument pour le délaisser ce HTC One S. Joli, fin, ergonomique, bien pensé, autonome, mais que diable peut-on bien avoir à lui reprocher ? Et bien justement, le One S est certes un bijou … mais un bijou fragile !

Souvenez vous, lors de l’annonce de la gamme One, HTC a mis l’accent sur ce nouveau procédé unique et révolutionnaire issu de la NASA qui permet de concevoir un revêtement solide et exempt de rayures. Baptisé MAO, pour Micro Arcs Oxydation, par les intimes, ce procédé consiste à baigner la structure aluminium dans un bain de plasma puis de bombarder le tout d’éclair à 10000 Volts afin de modifier les propriétés physiques de l’aluminium en lui conférant une meilleure résistance, un toucher doux et cette belle couleur noire charbon. Argument choc d’HTC : permettre aux utilisateurs de se servir de leurs téléphones sans avoir recours à une coque protectrice.

Bilan : échec total. Quelques jours à peine après sa sortie, de nombreux forumeurs remontent des anomalies concernant un écaillement prématuré du revêtement, plus particulièrement au niveau des arrêtes saillantes de l’appareil. Phénomène  étrange car pour chacun des cas constatés, aucun des malheureux propriétaires n’affirment avoir particulièrement maltraité son smartphone. Les photos témoignent pour eux, il ne s’agit pas de choc ni de chute, la surface demeure lisse, seule la couleur aluminium brut semble pointer le bout de son nez de manière clairsemée.

Après trois mois avec coque et pochette, ceinture et bretelles, j’ai malheureusement constaté ce défaut à mon tour sur mon HTC One S : un micro éclat d’un millimètre a fait son apparition sur le haut de l’appareil malgré mon utilisation ultra soigneuse. Las d’utiliser mon smartphone en le tenant comme un nouveau né, je ne suis pas mécontent de retrouver la solidité de mon iPhone 4S sans protection J

Argument numéro 2 : Le Google Play n’est pas encore au même niveau que l’AppStore

Mon premier regret lors du passage au monde Android a été de ne pas retrouver quelques applications que j’adorais utiliser sur iPhone. Je cite en tête de liste Instagram, iCompta ou encore LeBonCoin. Depuis, Instagram a fait son apparition sur le Google Play mais je n’ai toujours pas réussi à trouver un équivalent crédible à iCompta. Cette petite appli de gestion de porte monnaie personnel est un véritable bijou, je l’utilise depuis quasiment 5 ans sur iPhone et je me suis retrouvé orphelin sans lui sur mon HTC One S.

Autre point agaçant : quelques applications existent bel et bien sur Google Play et AppStore mais ne sont pas tout à fait équivalente ! Et force est de constater que la version iOs est souvent mieux fournie que son homologue Android. Exemple concret dans mon cas : l’application SNCF Direct. Cette application fort pratique développé par la SNCF à pour objectif de vous avertir du numéro de quai de votre train, dans toutes les grandes gares de France. Ainsi, pouvoir bénéficier de l’information en temps réel directement sur son téléphone est vraiment un gain en confort non négligeable pour tout grand voyageur en stress lors d’une correspondance de trains.

Mon cas pratique est le suivant : je décide de prendre le train à la gare de St Lazare qui part à 20h40 par exemple. Je pars de chez moi une trentaine de minutes avant mais je m’abonne aux alertes événement concernant le train de 20h40 afin d’être notifié en push dès que le numéro de quai est affiché, généralement 20 minutes avant le départ. Une fois arrivé en gare, je peux donc me diriger directement vers le bon quai sans devoir me bousculer avec la foule devant les écrans afin de connaître le quai de mon train.

Et bien figurez vous que la fonction push des alertes n’existe pas sur la version Android de l’application SNCF Direct ! Cela ampute donc directement une fonction essentielle de l’application… Dommage !

Argument numéro 3 : iOS reste plus intuitif que Android

Il est clair qu’on ne se défait pas facilement de 5 ans de bonnes (ou mauvaises) habitudes accumulés comme utilisateur chevronné d’iPhone depuis le premier du nom. Des petits riens que je vais lister en vrac, sans ordre d’importance :

–       le « slide to unlock »

–       la météo par heure sur une journée

–       Google Maps (bizarrement, je préfère la version sur iOS à la version Android. Dommage qu’Apple change de bord avec iOS 6 en proposant son propre système de cartographie)

–       Le calendrier / agenda mieux géré à mon goût sur iPhone

–       La gestion des contacts (un sacré foutoir sur Android lorsque Google récupère TOUS les contacts Gmail par défaut)

–       Notes

–       L’appareil photo du 4S

J’en passe et sûrement des meilleurs. Mais au final, ces petits inconvénients deviennent parfois vite handicapants au quotidien.

Quant bien même Google aurait rattrapé son retard en terme d’ergonomie et de simplicité afin de rendre son OS mobile accessible à tous, la trop grande succession de menus, de sous-menus et de termes acronymes techniques dans de nombreuses fenêtres réservent encore l’Androphone d’aujourd’hui à une catégorie d’utilisateurs avertis des nouvelles technologie. L’iPhone, dans ce cas, se positionne vraiment comme un téléphone complet mais simple d’utilisation, même pour le plus néophyte qui ne comprend pas ce qu’est un CPU, thread, kernel, etc.

Bref, j’ai repris mon iPhone 4S … en attendant l’iPhone 5.

La boutique Hollister de Vélizy 2

Après avoir déambulé tant bien que mal dans les allées de la boutique Hollister des Docks 76 en début d’année, je me devais de retenter l’essai dans une autre succursale de la marque américaine afin de pouvoir vous faire part d’un semblant de comparaison.

C’est donc en ce samedi ensoleillé de début juin (effectivement, il n’y en a pas eu beaucoup, je vous l’accorde) que j’ai bravé la foule pour visiter l’une des deux boutiques Hollister franciliennes, la première situant dans le centre commercial de  Vélizy 2 (78) et la seconde au Carré Sénart (77)

L’objectif premier de ma visite a été de chasser un hoodie de type Button down qui me tease depuis un petit moment mais dont le prix m’a toujours retenu jusqu’à présent. L’occasion de mon anniversaire prochain combinée avec l’idée que ce modèle serait arrêté par la marque dès la prochaine saison ont définitivement eu raison de moi.

La devanture de la boutique Hollister de Vélizy 2 ressemble absolument aux autres boutiques de la marque : même look de bungalow californien, mise en scène bord de plage, pas de grosses signalétiques de la marque sur la devanture, ambiance parfumée et lumière tamisée (voire même manquant cruellement de luminosité). On est bien dans une boutique du groupe Abercrombie et a fortiori chez Hollister.

A l’intérieur du magasin, même ambiance et même disposition que dans les autres boutiques, le découpage est symétrique : à gauche pour les « dudes » et à droite pour les « bettys », impossible de s’y perdre. D’emblée, je remarque une différence majeure avec la boutique de Rouen : il n’y a pas de fil d’attente devant le magasin, l’entrée est libre et la circulation plutôt fluide à l’intérieur du magasin.  Appréciable ! A croire que les Franciliens sont moins influencés par l’effet marketing d’Hollister (ou alors tellement exposés qu’ils en sont moins sensibles) au contraire des provinciaux qui se ruent sur le moindre mouvement « hype » qui daignerait s’aventurer dans les campagnes.

Autre point différenciant : ici, il n’est plus question de mettre en scène un semblant d’atmosphère pseudo-californien, aucune vendeuse peroxydée au sourire bright et à la poitrine avantageuse ne vous accueillera avec un joyeux « Hey what’s up ? » comme j’ai pu le voir au Docks 76. D’ailleurs, ce n’est sûrement plus le cas non plus à Rouen, à vérifier…

 

Une fois dans l’antre, je me dirige donc vers les hoodies boutonnés afin de satisfaire le besoin frénétique d’achat qui m’a poussé jusqu’ici. Horreur, le modèle que je recherche n’est présent dans les rayons qu’en taille L ou XL et seulement en couleur gris anthracite. Holy crap…

Remarquant que le modèle exact que je voulais (taille M, couleur bleu) est en exposition sur un mannequin, je décide donc d’interrompre un des vendeurs blonds surfeurs bodybuildés dans sa lourde tache de pliage des shorts afin qu’il puisse vérifier si le modèle que je cherche est en stock. Ce dernier dégaine immédiatement son talkie walkie pour relayer ma requête à un de ses confrères en charge probablement de la gestion des stocks. Après 2-3 minutes d’attente, une réponse grésille dans le combiné, réponse que je n’ai absolument pas pu comprendre à cause de la forte musique omniprésente dans le magasin. Et pour ne rien vous cacher, je suis convaincu que le vendeur non plus n’a rien compris à la réponse de son collègue… Et pourtant, il me répond sûr de lui que les stocks sont vides et que seul ce qui est en rayon est disponible dans l’immédiat. Soit… Étrange quand même de ne pas disposer de stock pour un des best-sellers de la marque qui doit se vendre par palettes entières, en particulier un samedi après-midi comme celui-ci. Avant de repartir bredouille du magasin, je tente quand même de demander s’il est envisageable de prendre le modèle qui habille le mannequin. Réponse immédiate : « Non, c’est un modèle d’exposition, on n’a pas le droit ». Il me semble que cela s’appelle du refus de vente, je dis ça, je dis rien…

Bref, je ressors donc du magasin les mains vides et le ventre creux. Je poursuis donc sereinement mon après-midi shopping avec ma compagne dans le centre commercial durant trois bonnes heures bien que je continuais à me questionner concernant cette rupture de stock mystérieuse…

Têtu de nature, je décide par curiosité de repasser par la case Hollister juste avant de quitter le centre commercial afin de vérifier une dernière fois les rayons. BINGO ! Les rayons ont été réapprovisionnés entre temps, le modèle que je cherchais étant cette fois bien présent en rayon avec la bonne taille et la bonne couleur. En résumé, soit le magasin a reçu une livraison miracle dans l’après-midi et a immédiatement mis en rayon ses articles ou bien le vendeur du début d’après midi m’a juste envoyé paître car visiblement, je l’em***dé avec mes questions. Perso, je penche sévèrement pour la seconde option.

Pour marquer le coup (mais aussi parce que je n’aime pas beaucoup qu’on se moque de moi), ma compagne décide d’aller voir le vendeur incriminé pour lui faire clairement la remarque. Visiblement gêné mais définitivement de mauvaise foi, le vendeur nous a répondu que les hoodies à boutons se situaient en fait en fond de magasin, c’est pour cette raison que je ne les ai peut être pas vu plus tôt… Woooookay d’accord bonhomme, Jean-Michel TuSersARien bonsoir.

En résumé : bien que je me sois délesté de 72 euros, la boutique Hollister de Vélizy est on ne peut plus classique, en ligne avec les autres magasins de la marque. Le gros point noir se situe autour d’un personnel dont le sens du service est clairement à revoir. Messieurs dames du recrutement d’Hollister / Abercrombie, il n’y a pas que le six-pack d’abdos à mettre dans vos critères d’embauche, le cerveau ne doit pas être en option chez vos vendeurs qui sont, on l’oublie trop souvent, la vitrine de votre marque auprès de votre clientèle.