Logitech Wireless Music Adapter Bluetooth

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Petit gadget bien pratique pour diffuser sa musique sans contrainte filaire, très simple d’utilisation

Démarrons l’année par le passage en revue de ce petit gadget qui ne paie pas de mine, j’ai nommé le Logitech Wireless Music Adapter Bluetooth.

 

Derrière ce nom barbare se cache un simple petit boitier Bluetooth qui ravira les fans de musique dont la câblerie fait frémir. Relié à une paire d’enceintes ou à votre ampli home cinéma, ce petit appareil remplacera à merveille la fameuse prise Jack qui vous permet habituellement de diffuser la musique de votre téléphone / lecteur MP3 / ordinateur jusqu’au enceintes.

D’une portée moyenne de 5 mètres (technologie bluetooth oblige), la qualité sonore est au rendez-vous pour une écoute standard ou d’appoint à condition de respecter le périmètre de couverture et en évitant les entraves (murs ou autre appareil électronique qui pourrait perturber le signal). Cet appareil ne vise clairement pas les mélomanes à l’oreille fine (et à l’équipement HiFi en or) qui n’auront même pas pris la peine de lire cet article faisant l’apologie d’une technologie de transmission sans-fil. Sacrilège !

La synchronisation avec mon smartphone (HTC et iPhone) puis avec mon Mac s’est effectuée avec une facilité déconcertante. On appuie une fois sur le boitier, ça clignote, on sélectionne l’appareil sur son téléphone, la lumière du boitier passe au vert et c’est ok !

Au tableau des petits défauts, je regrette qu’on ne puisse synchroniser qu’un seul appareil à la fois avec le boitier ainsi que le constat de quelques coupures de son lorsque le boitier ne se trouve pas dans un endroit bien dégagé.

Pour le prix (aux alentours de 25€), le Logitech Wireless Music Adapter Bluetooth fait son travail et le fait plutôt bien. Pour ceux qui ne souhaitent plus tirer un câble à travers le salon pour brancher leur PC portable, ce boitier magique est fait pour vous !

Disponible sur Amazon à prix serré.

IOS 7, la mise à jour flashy d’Apple

 iOS-7

Pas transcendantal ni révolutionnaire mais les nouveautés sont appréciables pour revenir dans la course face à la concurrence. Le centre de contrôle et la mise à jour automatique des applications sont pour moi les deux plus grandes évolutions.

C’est depuis hier soir 19h00 que nous, français, pouvons enfin goûter aux joies du nouvel iOS 7 développé par Apple. Pour rappel, cette dernière mouture est compatible uniquement avec :

  • Les iPhones 4, 4S, 5, 5C et 5S. Les plus anciens devront se contenter de leur iOS actuel (6.1.3 au mieux).
  • Les iPad 2, iPad Retina et iPad Mini
  • Et c’est là que ça fait mal, l’iPod Touch 5ème génération UNIQUEMENT

Inutile de vous dire que depuis hier soir, les serveurs d’Apple se prennent de sacrées claques et il n’est pas rare de devoir attendre près de 5 heures voire plus pour compléter le téléchargement des quelques 700 Mo sur iPhone 4S  (et plus d’1,3 Go sur iPad).

Une fois le cap franchi, faisons le tour des principales nouveautés / améliorations qui vous changeront la vie (ou pas) !

Design

Bien évidemment, c’est avant tout le nouveau look d’iOS 7 qui retiendra en premier votre attention. Exit le skeuomorphisme cher à Apple depuis le début d’iOS (mais aussi sur Mac OS), il est désormais question de « flat design », c’est à dire un style graphique dénué de tout relief, minimaliste, mettant l’accès sur la lisibilité et la simplicité. J’entends déjà certains d’entre vous crier au plagiat de Microsoft avec son interface « Modern UI » introduit par Windows 8. Vous n’avez pas entièrement tord… Apple ne peut pas toujours dicter la mode. Même Google s’est mis au flat design ! Je le trouve tout de même assez plaisant ce design. Propriétaire de l’iPhone depuis le premier du nom en 2007, cela permet d’apporter un peu de fraîcheur.

Centre de notifications

Le centre de notifications, qui apparaît lorsque vous glissez votre doigt de haut en bas, a été revu et corrigé. Désormais doté de trois onglets, il vous donne une vue de votre journée (météo et calendrier) ainsi que les notifications usuelles (push d’applications, appels manqués, SMS reçus).

 

Centre de contrôle

C’est sans nul doute la nouveauté que j’attendais le plus ! Disponible depuis des lustres pour les appareils jailbreakés (via SBSettings), Apple a enfin eu la bonne « idée » de piquer le concept et de l’intégrer nativement à son OS. Vous pouvez donc désormais accéder à tout moment aux commandes de réglages (WIFI, mode avion, bluetooth, etc.) et aux apps utiles (calculatrice, lampe torche) d’un simple mouvement de doigt du bas vers le haut, y compris lorsque l’iPhone est verrouillé. Enfin !

Dossiers d’applications

Marre de vous trimbaler trois dossiers « Jeux » et deux dossiers « Utilitaires » sur votre page d’accueil à cause de la limitation de 12 applications par dossier ? Apple vous a entendu ! Cette fois encore, cette « innovation » est directement inspirée du mode du jailbreak (via InfiniFolders) et vient doter les dossiers d’un système d’onglets. Vous pourrez maintenant stocker une flopée d’applications par dossier de manière illimitée… ou presque. Apple a fixée cette limite à 135 applications par dossier, de quoi voir venir tout de même.

Gestion du multitâches

Un double clic sur votre bouton « Home » et vous faites apparaître le nouveau menu de gestion du multitâches d’iOS 7. Désormais présenté sous forme de cartes (qui a dit que ça ressemblait à Cards d’HP Palm OS ?), il vous suffit de glisser votre doigt vers la gauche/droite pour passer d’une application à l’autre. De la même façon, balayez l’application vers le haut pour la clore pour de bon.

Mise à jour des applications

Une nouveauté en toute transparence pour vous faciliter la vie : la mise à jour de vos applications seront désormais automatique ! Plus besoin de lancer l’AppStore pour exécuter vous-même les mises à jour, iOS 7 s’occupe de tout. « Horreur ! Mon iPhone va me bouffer tout mon forfait 3G à se mettre à jour quand je suis dans le bus ? » Et bien non. iOS installe les mises à jour aux moments les plus propices en termes d’économie d’énergie. Par exemple, lorsque l’appareil est connecté en Wi-Fi tranquillement chez vous.

Safari

Première nouveauté, Safari intègre maintenant un seul et unique champ de recherche. Ce dernier interprétera aussi bien vos adresses web que vos recherches Google, Yahoo, Bing.

Seconde nouveauté, le mode plein écran (déjà disponible sur iOS 6) sera désormais le mode par défaut de votre navigateur. Ainsi, lorsque vous déroulerez vos pages web, le champ de recherche et la barre d’outils feront place nette pour que vous puissiez profiter pleinement de votre écran.

Pour les webaddicts, la limite de huit onglets ouverts simultanément imposée par iOS 6 pouvait s’avérer frustrante. iOS 7 lève cette limite ! D’autre part, les onglets ouverts apparaissent maintenant sous la forme de carte que vous pourrez réorganiser à votre guise. Pour fermer un onglet, glissez le simplement vers la gauche.

FaceTime

L’application de vidéo-chat FaceTime bénéficie désormais d’une application bien dédiée sur iPhone, comme c’était déjà le cas sur iPad. Innovation : vous pouvez désormais FaceTimer uniquement avec l’audio sans la vidéo. C’est idiot me direz-vous. Pas tout à fait: cela vous permettra d’appeler vos proches gratuitement depuis l’étranger à partir d’une bonne Wi-Fi par exemple.

Des innovations pour bobo hipster top tendance

En terme de « petites innovations mais qui font toujours plaisir parce que c’est cool » il y a l’application Météo qui désormais s’anime pour vous montrer le temps qu’il fait. Vous pouvez aussi lever la tête et regarder le ciel, ça marche aussi.

Apple a pensé aussi à intégrer un certain nombre de filtres photo top tendance façon Instagram directement dans les applications Photos et Appareil photo. Il vous sera donc possible de faire des photos de votre cheesecake de chez Starbuck avec un filtre psychodramatic-sepia-post-sixties. Toujours dans l’esprit d’Instagram, l’appareil photo vous permet également de faire des photos carrées sans recadrage, de quoi coller directement avec le format imposé par Instagram.

Il sera aussi possible d’animer vos fonds d’écran en choisissant parmi une sélection de fonds mis à disposition par Apple. J’ignore s’il est possible d’en télécharger d’autres car à part des bulles de couleurs différentes, le choix n’est pas énorme…

Et dernier nouveauté que j’aborderai ici qui ravira les plus bricoleurs d’entre vous : l’arrivée d’un niveau à bulles intégré dans iOS 7 ! Et c’est bien évidemment en tout logique qu’Apple a intégrée cette nouvelle fonctionnalité au sein même de l’application Boussole (wait…. what ?!).

Bilan pour ceux qui ont la possibilité d’upgrader sous iOS 7 : faites le, les nouveautés, bien que non révolutionnaires, sont tout de même fort appréciables. Et contrairement aux versions bêta, la version finale semble plutôt stable (pour le moment) et tourne même plutôt pas mal sur un iPhone 4 ! Pour ce qui est de l’autonomie, je n’ai pas encore assez de recul pour voir une vraie différence. De toute façon, mon iPhone 4S avait déjà quelques faiblesses de ce côté, même sous iOS 6, après seulement 2 ans d’utilisation…

Pour aller plus loin, je vous propose de jeter un oeil à cette excellent article de nos confrères Gizmodo qui rassemble toutes les petites astuces du nouvel OS d’Apple.

Et vous, que pensez-vous de ce nouvel iOS 7 ?

Le NAS D-Link 320 L W Cloud Sharecenter

Petit NAS basique, peu cher mais qui n’offre que des fonctions à la hauteur de son prix.

Petit bémol sur le bruit émis par le ventilateur.

Retour aux sources avec un test geek aujourd’hui: le test du NAS DNS 320 LW de chez D-Link dans sa version blanche (W pour white).

Alors pourquoi tester ce NAS spécifiquement plutôt qu’un autre me direz-vous ? Tout simplement car j’ai eu l’occasion d’en posséder un pendant 3 mois et les offres promos le concernant fleurissent de plus en plus sur la toile. L’occasion pour moi de vous faire part de mon retour d’expérience avant que vous ne franchissiez le pas.

Je vais passer sur les généralités (qu’est ce qu’un NAS, à quoi ça sert, comment ça marche, etc.) et vous laisserez lire un excellent article de nos confrères Cachem sur le sujet.

Si vous avez répondu « Oui » à la question « Ai-je besoin d’un NAS ? » alors la suite est pour vous.

D-Link nous propose ici un NAS compact et élégant, disponible dans un écrin blanc ou noir. Il est important de distinguer cette nouvelle gamme de NAS 320 L avec son prédécesseur le NAS DNS-320 tout court : le nouveau 320 L est plus puissant (1Ghz vs 800mhz, 256Mo de RAM vs 128Mo), plus compact et, semblerait-il, plus silencieux. Je reviendrai sur ce point un peu plus loin.

Ce nouveau NAS intègre surtout la dernière fonctionnalité à la mode : le myCloud de D-Link !

Cette fonction permet  d’accéder aux fichiers partagés avec les applications gratuites pour iPhone, iPad et smartphones Android, quelque soit l’endroit où vous vous trouvez. Ces applications sont téléchargeables sur l’Apple Store (avec iTunes) pour la version sous iOS et sur Google Play pour l’application Android. Elle permet aussi de sauver les photos stockées sur le mobile vers le support de stockage connecté au routeur, à l’instar des célèbres Dropbox ou encore iCloud.

Au déballage, le packaging est classique : le boitier NAS en lui même, les manuels et cd d’installation, l’alimentation, le câble RJ45 et deux poignées à visser sur vos disques dur afin de faciliter l’extraction du NAS. Bonne idée.

On y insère deux gros disques de 2 To chacun, tant qu’à faire, et on prendra soin d’activer le RAID1 lors de la configuration. J’ai tenté d’accéder directement à l’interface d’administration via l’adresse IP du boitier mais rien à faire, obligé de passer par l’assistant de configuration (disponible sur le CD) pour pouvoir enregistrer mon NAS chez D-Link, faute de quoi le cloud ne serait pas actif. Au passage, l’assistant de configuration n’est pleinement opérationnel que sous Windows, Mac users, passez votre chemin ! D-Link se défend de fournir une version de l’assistant sous Mac. Pour l’avoir essayé, c’est une sombre daube. Heureusement que le PC de madame sous Windows 7 était à portée de main pour cette première configuration.

Après m’être battu une poignée de minutes pour faire reconnaître mon NAS par l’assistant (erreur inconnue, NAS non détectée, etc.), j’arrive alors sur la page d’administration avec un premier contact désagréable.

L’interface est basique, elle propose différents raccourcis personnalisables afin d’atteindre les paramètres de configuration du NAS.

Serveur FTP, DLNA, téléchargement autonome de torrents, sauvegarde sur Amazon S3, … sont d’autant de fonctionnalités qu’offre ce NAS D-Link.

Il a fallu pas moins de 72 heurs pour que le NAS scanne et indexe l’ensemble de ma bibliothèque musicale et vidéos. Et grande fut ma déception lorsque j’ai constaté qu’il fallait un rescan complet du NAS à chaque ajout de musique ou de vidéo… Quelle erreur de conception inacceptable !

Aucune remarque désobligeante concernant le serveur FTP et le client torrent qui fonctionnent tout deux correctement. Dommage que l’outil ne soit pas capable de renommer les fichiers et les classer de manière autonome une fois le téléchargement terminé. Mais j’en demande peut être un peu trop.

J’ai eu le plaisir de tester également la sauvegarde Time Machine de mon Macbook sur le NAS de manière automatique, sans souci, bien que l’interface d’administration du D-Link ne soit pas la plus ergonomique qui soit.

Pour les plus bidouilleurs d’entre vous, il existe une communauté plus ou moins active autour des NAS de la marque. Il est ainsi possible d’y installer une surcouche applicative (FFP pour Fonz Fun Plug ou encore une variante de Debian Squeeze) afin d’étendre les possibilités de votre NAS. Ces manipulations étant officieuse, elles peuvent être fatales pour votre matériel en cas de soucis, à réserver donc aux plus avancés. Toutes les infos sur le forum Hardware.fr ou encore le site Bidouilles-numeriques qui propose des tutoriaux très complets, dédiés au DNS 320 L.

Un des défauts les plus gênants de ce NAS provient du bruit produit par le boitier dans son ensemble:

  • Le ventilateur est thermorégulé par le boitier mais il a la fâcheuse tendance à se lancer très voire trop régulièrement.
  • Le point précédent ne serait pas si gênant si seulement ce même ventilateur avait la qualité d’être silencieux. Ce n’est pas le cas, le bruit du ventilateur à pleine puissance est aigu et soutenu, rendant le choix de l’emplacement du NAS  assez stratégique lorsque vous aborderez cette question
  • Les vibrations des disques dur ne sont pas (ou très mal) amortis par le support du boitier. Ainsi, elles seront directement transmises au meuble sur lequel le NAS sera posé. Désagréable.
  • La fonction d’économie d’énergie du NAS force l’arrêt des disques après un temps donné. Or le NAS semble devoir accéder à ces mêmes disques plutôt régulièrement (et parfois de manière incompréhensible) ce qui fait redémarrer la rotation. Un redémarrage de disque = un bruit supplémentaire.

Ces petits zones d’ombres m’ont finalement poussées à me séparer de ce NAS D-Link seulement 3 mois après en avoir fait l’acquisition. J’ai depuis remis mes disques dans un boitier NAS de chez Synology, la Rolls Royce des marques de NAS selon moi. Interface ultra ergonomique, configuration facile, communauté active et pléthores d’applications étendant les possibilités du NAS à portée de main, on est à l’opposé extrême de ce que j’ai pu trouver chez D-Link. Le hic : les boitiers nus chez Synology démarre au tarif de 150€, là où le D-link 320 L se vend avec au moins un disque de 1 voire 2 To au même prix. Nous aurons peut être l’occasion d’en rediscuter plus tard lors d’un prochain test

Toutefois, si vous ne recherchez pas de fonctionnalités avancées, que vous avez un budget limité, qu’un NAS rime avec « disque réseau offrant des données accessibles par toute la famille » et rien de plus, D-Link offre une prestation tout à fait convenable pour un tarif plutôt contenu. Soyez juste rigoureux lors du choix de l’emplacement du boitier, l’idéal étant de le placer dans une pièce de vie peu passante (bureau, arrière cuisine, etc.)

le site de déstockage privé Vente-du-diable.com

Des offres qui paraissent alléchantes mais qui s’avèrent moins qualitatives que prévues

 L’été pointant enfin le bout de son nez sur notre cher hexagone et les soldes arrivant à grands pas, cette période estivale est plus que propice pour se délester de quelques euros et de se faire plaisir en achats compulsifs et/ou nécessaires.

C’est exactement ce que je me suis dit il y a de cela quelques jours.

Cherchant un nouvel ordinateur portable pour ma petite-amie, le sien montrant sérieusement des signes de vieillesse, mon beau-frère me conseilla le site de déstockage en ligne nommé « vente-du-diable.com ». Ce dernier me dit que c’est un site qui propose toute l’année des produits hi-tech à prix cassés défiant toute concurrence.

La raison de ces prix attractifs ? Ce sont des ventes de produits reconditionnés.

Retour d’expérience d’un acheteur échaudé…

Pour les plus néophytes d’entre vous, vous allez me dire : « Qu’est-ce qu’un produit reconditionné ? ».

Un produit reconditionné est un produit d’exposition ou un produit dont l’emballage a été altéré, qui est ensuite enveloppé dans un emballage neuf. Ils sont, en règle générale, neufs ou quasi-neufs. Avec la crise qui sévit, toute opportunité de faire des économies est bonne à prendre ! Mais lorsque vous tombez sur ce genre d’aubaine, une part de méfiance reste de mise et vous auriez tout à fait raison ! Pourtant, avec tous les arguments que mon beau-frère avança pour me convaincre que ce site était au top pour ceux voulant faire de bonnes affaires, cela m’a réellement mis en confiance.

Ni une, ni deux, il me parraine et après une brève inscription, me voilà en train de surfer sur ce site essayant de dénicher la bonne affaire. Le principe reste le même que n’importe quel site de merchandising en ligne. D’ailleurs, le design du site « vente-du-diable.com » m’a beaucoup fait penser à celui de  »vente-privee.com », avec un design quelque peu « cheap ». Guettant la bonne affaire sur un PC portable performant et abordable, ma petite-amie tombe par hasard sur un déstockage de produits hi-tech comprenant aussi bien des smartphones haut de gamme que des grille-pains.

Dans ce méli-mélo de produits en tout genre, un produit retient particulièrement son attention : un ordinateur portable Sony VAIO SVS-1311F3E/W à un prix TTC de 479,99€. Mieux encore, avec un code de réduction de 10€ trouvé sur un site de bons de réducs, le prix du PC tombe à 469,89€.

Je jette un rapide coup d’œil sur les caractéristiques (voir ci-dessous). Le rapport qualité/performances/prix était franchement attractif !

Type de produit Ultra portable
Ecran 13,3 « 
Poids en kg 1,7 Kg
Dimensions (l x p x h) en mm 331 x 24 x 225
Processeur Intel Core i5-3210M
Vitesse du processeur 2.5 GHz (jusquà 3.1 GHz avec Intel Turbo Boost technology)
Système d’exploitation Windows 7 Edition Familiale Premium 64 bit
Chipset Intel HM76 Express
Mémoire cache externe 3 Mo
Mémoire RAM 4 Go
Type de mémoire RAM installée DDR3
RAM maxi 12 Go
Type de disque dur SATA
Capacité du disque dur 500 Go
Vitesse de rotation du disque dur 5400 tours/min
Lecteur / Graveur Lecteur graveur CD/DVD
Lecteur de cartes mémoire SD/MS
Carte graphique Intel HD Graphics 4000
Webcam intégrée Oui
Résolution de la webcam 1.31 Mpixel
Bluetooth oui
Audio Dolby Home Theater v4
Carte réseau Ethernet 10/100/1000 Mbps
Communication sans fil 802.11 b/g/n + Bluetooth 4.0 +HS
Connecteurs 2 USB 3.0, 1 USB 2.0, 1 HDMI, 1 VGA, 1 RJ45, 1 Kensington Lock, entrée et sortie audio
Dispositif de pointage TouchPad Multi-touch
Type de batterie Jusqu’à 8h00 d’autonomie en mode Stamina, 7h00 en mode Graphics
Caractéristiques complémentaires Clavier rétro-éclairé
Résolution maxi avec mémoire installée 1366 x 768
Nombre de haut-parleurs intégrés 2
Microphone intégré Oui

Juste le temps de régler l’achat et le PC est commandé ! Commande passée le 26/06/2013 et reçue le 01/07/2013, elle s’empresse de le déballer et de le tester.

Dès l’allumage de l’ordinateur, elle constate rapidement que la description était erronée par rapport à la réalité. En effet, il s’avère qu’il n’est pas si neuf que prévu.

Peinture manquante sur les coins du capot de l’ordinateur et touchpad présentant des dysfonctionnements majeures, elle décide à le renvoyer afin d’être remboursée pendant les 7 jours de rétraction dont nous disposons si mécontentement il y a. Elle s’empresse donc de remplir un dossier de réclamation expliquant le pourquoi du comment et une fois crée, un message nous informe qu’on recevra une réponse de leur service clients dans les jours qui suivent (48h au plus tard il me semble).

Aucune réponse au bout de quatre jours et une relance plus tard, nous voyons qu’aucune démarche n’a été engagée de leur part. Excédé et après avoir lu quelques commentaires pas très réjouissants d’autres clients, je suis bien décidé à obtenir gain de cause.

Quelques recherches plus tard, je tombe sur le numéro de téléphone de la SAV (que voici : 05 81 18 79 56). J’ai donc passé toute la journée d’aujourd’hui a tenté de les appeler.

Cinq coups de fil de vingt minutes chacun et une bonne migraine plus tard, je réussis enfin à avoir une personne me donnant la marche à suivre pour un remboursement total de ma commande.

La démarche est la suivante :

  • Réception du mail contenant la démarche à suivre pour le renvoi du produit défectueux dans les 48h après l’appel, en espérant que je le reçoive un jour…
  • Renvoi du PC portable par voie postale à l’adresse indiquée dans la procédure.

Après confirmation de la réception du PC par « Vente-du-diable.com », je serai re-crédité sur mon compte bancaire avec lequel j’ai réglé la commande dans les 5 à 8 jours.

Petit conseil :

Si vous êtes dans la même situation que moi mais que vous n’avez pas beaucoup de temps à leur consacrer,  procéder de cette manière :

  • Créer un dossier de réclamation dès que vous constatez un problème sur le produit.
  • Appeler leur service clients au numéro ci-dessus avec les informations suivantes :
  1. N° de la commande
  2. Date de réception de votre commande
  3. Et n° de série du produit si celui-ci est électronique ou informatique.

Voilà ! Je n’ai plus qu’à attendre et croiser les doigts…

Pour terminer, s’il y a bien quelque chose à retenir de cette expérience:  si vous ne voulez pas vous retrouver dans la même situation que la mienne et rester des heures à écouter la musique irritante de leur répondeur, rendez-vous service et NE COMMANDEZ PAS SUR CE SITE !

Cela vous économisera de l’argent et surtout du temps que vous n’avez pas forcément pour parler à leur SAV.

Pour continuer à faire de bonnes affaires hi-tech, je vous recommande le flux RSS du site LesNumeriques.com qui compile pour vous les bons plans geek de la journée, dénichés par les internautes du site : http://www.lesnumeriques.com/soldes-ete-informatique-high-tech-e1215.html

Les skins pour iPhone de Stickers2ouf

 sticker2ouf

Décidément les stickers sont à la fête en ce moment et nous avons aujourd’hui le plaisir de partager avec vous le test d’un skin (comprenez « déguisement » ou « seconde peau ») pour iPhone. Après avoir décoré votre Macbook en faisant votre shopping chez Stickers2ouf ou encore i-Stickers sur nos conseils éclairés, avez-vous peut être envie de récidiver en rajoutant une touche colorée à votre smartphone ? C’est ce que je vous propose de découvrir aujourd’hui avec le test du skin complet pour iPhone « StickerBomb » de chez Stickers2ouf.

Comme à son habitude, Stickers2ouf ne rompt pas avec sa rapidité d’expédition des commandes exemplaire. Moins de 24h après confirmation d’envoi, l’enveloppe est dans votre boîte aux lettres !

Dans l’enveloppe, rien de plus simple, le pack de stickers est livré dans son sachet avec une petite chiffonnette qui vous servira à dépoussiérer le terrain avant de vous lancer à l’ouvrage.

La pose du skin ne pose aucune difficulté particulière, le vinyle utilisé pour la fabrication des stickers est de qualité et se colle/se décolle sans résistance. Bien que la fiche descriptive indique l’utilisation de vinyle de marque 3M (référence de longue date sur le marché), nous avons reçu notre pack sur du vinyle de la marque Arlon. Peu connue en France, cette marque propose tout de même une large gamme d’imprimables de qualité.

N’hésitez donc pas à réajuster vos collages pour avoir un résultat parfait. Un bon résultat est d’autant plus facile à obtenir car la découpe des différents éléments est précise, les raccords sont parfait au millimètre près. De même pour les ouvertures (bouton de mise en silencieux, port jack, enceintes, etc.), l’emplacement des trous est parfaitement ajusté, aucun problème de décalage à relever.

Une fois le collage terminé, le résultat est flatteur mais une question nous vient à l’esprit : mais à quoi peut donc servir le dernier sticker restant ? Le sticker prend, théoriquement, l’emplacement de l’écran mais difficile de l’utiliser sans rendre l’iPhone inutilisable !

Seconde remarque : mais comment vais-je faire pour retirer ma carte SIM le jour où j’aurais besoin de la changer ? En effet, si Stickers2ouf a bien pensé à faire les bonnes découpes pour les différentes ouvertures nécessaires à l’utilisation quotidienne de votre iPhone, il semblerait que l’emplacement de la carte SIM soit passé à la trappe lors de la conception… Dommage.

Autrement, rien à redire, Stickers2ouf offre cette fois-ci un produit de grande qualité à la découpe précise. A voir maintenant la pérennité du vinyle avec le temps, les frottements et l’usure.

Notez que Stickers2ouf, contrairement à beaucoup de revendeurs d’articles du même acabit, est un fabricant et distributeur de ses propres produits. Le marchand est alors responsable et garant de la qualité de ses propres produits. A l’écoute des remarques des clients, n’hésitez pas à leur faire part de vos suggestions d’amélioration (à l’image de notre test du Domo-kun pour Macbook dont le style de découpe a été modifié et amélioré depuis notre test l’année dernière).

Si vous souhaitez vous aussi tenter l’expérience, vous trouverez une gamme complète de stickers pour iPhone sur le site du marchand. Pour le moment, seul notre modèle en test (StickerBomb, 14,95 €) permet un covering complet du smartphone d’Apple.

 

Les stickers pour Mac / iPhone / iPad de i-Stickers

 iPad de i-Stickers

 

Qualité de produit à la hauteur pour des produits à prix serrés. On regrettera le manque de facilité de la procédure de pose, peu détaillée dans la notice vaguement traduite en français.

Marre de la grisaille de votre MacBook tout aluminium, de votre iPhone tout noir ou de votre iPad tout blanc ? Les stickers sont là !

La tendance est apparue il y a déjà quelques années et j’avais abordé longuement le sujet avec vous l’année dernière en cherchant à donner une petite touche de fantaisie à mon Macbook Air.

A l’époque, j’avais été déçu par deux points :

  • La qualité de la découpe du sticker, plutôt brouillon et non conforme au descriptif de l’article sur le site marchand
  • Le prix

Ayant depuis changé de machine, j’ai été contraint de retirer le sticker Domo-kun afin de fournir à mon acheteur une machine vierge. Après l’achat d’un nouveau Mac, je me suis retrouvé moi même avec une nouvelle machine grise et tristounette. Il était temps d’y remédier grâce aux stickers du site i-sticker.fr

Pour redécorer mon Macbook Air flambant neuf, j’ai opté cette fois-ci pour un sticker plus imposant que mon chétif Domokun de l’époque.

Reçu dans une enveloppe en courrier suivi, le sticker est accompagné d’un film de transfert permettant l’installation sur votre laptop bien aimé ainsi qu’une brève note d’utilisation vaguement traduite. Pour autant, pas besoin d’avoir un Bac+5 pour réussir la pose, il suffit d’un peu de rigueur et de dextérité et le tour est joué.

Etape 1 : on déballe et on dépoussière son Macbook avec un chiffon sec pour éviter d’y coller trop de cochonneries

Etape 2 : On lit la notice et on y lit qu’il faut appliquer soit même le film de transfert sur toute la surface du sticker. Allez-y tout doucement, prenez votre temps pour éviter toute bulle d’air.

Astuce du chef : utilisez une carte (bancaire ou de fidélité) pour « maroufler » toute la surface du sticker afin de s’assurer qu’il collera bien sur le film de transfert sans se déchirer lorsque vous allez peler l’autocollant.

Pour les plus assidus d’entre vous, vous remarquerez que cette étape ne faisait pas partie du collage de mon précédent sticker DomoKun de chez Stickers2Ouf. En effet, le sticker m’était livré préalablement filmé, il n’y avait plus qu’à peler l’autocollant et à l’appliquer sur l’appareil. J’ignore par contre si cela est à généraliser à l’ensemble des stickers vendus chez Stickers2ouf.

Etape 3 : Placez le sticker sur votre Macbook et allumer le logo. Par transparence, centrez le sticker comme vous le souhaitez par rapport au logo de la pomme.

Etape 4 : Une fois que vous êtes sûr de votre coup, décollez délicatement le film de transfert pour le coller directement sur votre Macbook. De même, utiliser une carte pour maroufler (Valérie Damidot sors de ce corps !) toute la surface du sticker pour qu’il adhère bien à votre portable.

Etape 5, ultime étape : Une fois le film entièrement collé sur votre Macbook, pelez délicatement le film en s’assurant que le sticker ne se décolle pas en même temps. Ca y est, vous y êtes !

TADA !

Vu le niveau de détail du sticker, ce dernier a nécessité beaucoup plus d’attention lors du collage que lors de ma précédente expérience. Malgré mille précautions, j’ai échoué à un millimètre près la perfection, mon logo étant légèrement décalé du centre du torse, sans gravité.

Du côté des réjouissances, je suis extrêmement satisfait du rendu final et surtout de la qualité de la découpe du sticker. La découpe est nette, sans bavure ni imprécision comme j’avais pu le constater sur le Domo-kun, rien à redire sur ce point. Le seul regret, non imputable directement au sticker en lui-même, reste la relative difficulté de la pose qui nécessite un poil de rigueur pour ne pas gâcher le rendu final.

Si vous êtes tenté par l’expérience, c’est sur le site i-stickers.fr que ça se passe : grand choix de stickers pour Mac, iPad, iPhone, en noir et blanc ou couleur pour un prix généralement plus contenu que pas mal de sites marchands similaires.

Les 12 jours cadeaux iTunes

 

C’est la saison des cadeaux et Apple ne fait pas défaut à la tradition annuelle en nous réservant de beaux cadeaux sur les 12 prochains jours. Pour les habitués, ce n’est pas la première année qu’Apple nous propose ces cadeaux mais cela est toujours plaisant à découvrir (j’en parlais déjà l’année dernière ici même)

Pour tous les possesseurs de produits Apple (iPod, iPhone, iPad), téléchargez l’application Les 12 jours de cadeaux d’Apple et bénéficiez à partir du 26 décembre d’un cadeau par jour, jusqu’au 6 janvier 2013. Vous n’avez ni iPhone, ni iPad, ni iPod Touch ? Vous pouvez également télécharger depuis aujourd’hui vos cadeaux à partir de votre ordinateur via iTunes.

Une sélection de musiques, clips vidéo, applications, livres électroniques ou épisodes de séries seront disponibles au téléchargement gratuit pendant ces 12 jours inédits. Vous auriez tord de ne pas en profiter.

Découvrez la liste des cadeaux au jour le jour dans la suite !

Jour 1 :

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Maroon 5 – Holiday gift

Comme à son habitude, Apple ouvre le bal en musique en nous offrant 2 titres remixés du célèbre groupe Maroon 5 : Move like a Jagger et One more night

En exclusivité également, une vidéo de making off des clips du groupe.

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Jour 2 :

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Un excellent jeu de foot pas comme les autres vous attend aujourd’hui: revivez les plus beaux buts de l’histoire comme si vous y étiez avec un jeu dont l’ergonomie ne souffre d’aucun défaut. Jouissant d’une prise en main exemplaire, il saura séduire les plus récalcitrant au FIFA / PES d’entres vous.

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Jour 3 :

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Le premier épisode en HD de la série Sherlock est offert pour ce 3eme jour des cadeaux iTunes. Le célèbre détective anglais est remis au goût du jour !

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Jour 4 :

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Musique, jeux, séries… il ne manquait plus qu’un e-book pour compléter votre bibliothèque numérique. C’est désormais chose faite avec « La Huitième couleur », l’univers fantastique de Terry Pratchett.

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Jour 5 :

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Le chanteur britannique Ed Sheeran vous offre 3 singles live « Drunk », « Small Bump » et « The City » pour cette cinquième journée de cadeaux.

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Jour 6 :

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Doodle jump, vous connaissez pas vrai? Sonic aussi ? Combinez les deux et vous obtenez Sonic Jump, un « Doodle jump-like » dans l’univers de Sonic et du maléfique Dr. Robotnik !

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Jour 7 :

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Les enfants sont à l’honneur aujourd’hui avec ce film d’animation Disney offert pour une durée limitée.

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Jour 8 :

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Largo Winch vous emmènera dans une aventure à Istanbul pour cette huitième journée cadeau. La BD Largo Winch « L’héritier » est disponible en téléchargement gratuit aujourd’hui pour le plus grand plaisir des fans.

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Jour 9 :

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Commencez la journée en musique avec l’EP du groupe de rock londonien The XX ! Leur titre The XXmas et deux vidéos vous sont offerts gratuitement via l’application « 12 jours de cadeaux iTunes »

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Jour 10 :

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Offrez-vous les conseils d’un pro pour concocter une ribambelle de petits plats. Les recettes sont expliquées pas à pas et illustrées de très belles photos qui seront du plus bel effet sur votre iPad flambant neuf que vous avez reçu à Noël

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Jour 11 :

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Que les groupies teenagers se réveillent, le groupe britannique One Direction arrive aujourd’hui avec une vidéo gratuite de leur titre « Little things »

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Jour 12 :

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Dernier jour de cadeaux aujourd’hui ! Profitez du jeu Shark Dash de Gameloft, un « Angry birds-like » où vous incarnez un petit requin qui part à la chasse aux vilains canards

Je vous rappelle que les cadeaux ne sont disponibles seulement pour une durée de 24 heures alors ne tardez pas !

Merci de nous avoir suivi le long de ces 12 derniers jours et à très bientôt sur le blog.

Le casque AIAIAI Tracks

aiaiai-headphones-whitezine3-580x464-300x240Nous testons aujourd’hui un casque au design atypique issu de la firme danoise AIAIAI connu notamment pour son casque TMA-1 largement plébiscité par les sites spécialisés.

J’ai eu entre les mains le casque Tracks à la conception minimaliste mais adoptant un look rétro très sympathique. Léger, design et coloré, il plaira sans aucun doute à la gente féminine branchée cherchant un casque original.

Bâti autour d’un simple arceau métallique qui sert de rail d’attache pour les 2 écouteurs détachable et ajustable, exit les pièces inutiles et place au strict minimum. Légèreté et solidité sont les maîtres mots aux premiers abords de ce casque pour le moins original.

La philosophie de la marque AIAIAI est particulière : AIAIAI cherche à créer des écouteurs et autres produits électroniques grand public connexes qui ont un lien évident, différent et authentique avec le monde de la création musicale. Les produits suivent un processus de développement « ouvert », ce qui signifie que les équipe de développement travaillent avec des ingénieurs du son et des musiciens reconnus (C4 Studio, Tartelet Records et Jon Schumann pour n’en nommer que quelques-uns). Le fruit de ces pratiques : des objets techniquement aboutis, fidèles aux exigences des artistes et offrant un design à la fois surprenant, reconnaissable et original.

Dessiné par Kilo Design, le Tracks est largement inspiré des premiers casques Walkman de Sony,  très bien construit. Equipé d’un micro/télécommande, il vous permettra de piloter votre iPod/iPhone à distance sans avoir à dégainer l’engin de votre poche. Fourni avec un étui de rangement, ce casque trouvera sans peine sa place dans votre sac pour une utilisation nomade.

 

Malheureusement, le confort en utilisation nomade risquera d’être fortement compromis par sa structure absolument pas isolante, à la manière du Koss Portapro, laissant filtré les bruits extérieurs et offrant à vos voisins le plaisir d’écoute de votre musique. D’un point de vue strictement sonore, il reste un excellent modèle dans la reproduction du spectre sonore, basses et médiums avec un creux dans les aigus, l’orientant donc clairement vers les musiques modernes et énergiques.

Son prix pourra également freiner les envies d’achat de certains : proposé aux alentours de 69 €, la qualité de fabrication ne permettra pas de compenser le défaut d’isolation flagrant rendant son utilisation nomade assez délicate.

Pour l’anecdote, nous avons fait l’acquisition de ce Tracks à 9€ lors des soldes d’été à la FNAC de Paris La Défense. Une fois les soldes terminés, ce dernier est repassé à 49 € au lieu de 69 € en tant que « Petits prix FNAC ». No comment.

Le MacBook Air 13 pouces mi-2012 Core i5 1,8 Ghz

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Apple a dégainé sa nouvelle gamme d’ultrabooks, ces ordinateurs portables nouvelle génération dont la finesse n’est plus à démontrer (3 mm sur le bord le plus fin !). Mouvement initié par le MacBook Air premier du nom présenté en 2008, cet OVNI dans le monde du portable n’a cessé de renforcer ses points forts (légèreté, finesse, autonomie) en y intégrant à chaque renouvellement de gamme les dernières technologies du monde hi-tech.

La dernière fournée présentée lors du WWDC de  juin 2012 se positionne comme la 6ème génération du MacBook Air. Ces six générations ont-elles forgées l’ultraportable ultime qui vous fera craquer ? Petite revue de la machine pour vous éclaircir les idées.

Ce que vous réserve cette fournée 2012

Ce modèle 2012 est en tout point similaire esthétiquement à ces deux grands frères sortis ces deux dernières années. Un châssis unibody (d’une seule pièce d’aluminium) inauguré en 2010 qui augmente la résistance, la finesse et la légèreté par rapport à la première mouture, large trackpad en verre, 2 ports USB, un port ThunderBolt/mini DisplayPort, une sortie audio. D’apparence, ce nouveau Macbook Air ne révolutionne pas le design de la gamme, la seule différence notable se situe au niveau de la prise d’alimentation qui introduit le nouveau connecteur MagSafe 2. Plus plat mais aussi plus large, ce dernier n’offre aucun changement transcendant à l’utilisation. Pire, le connecteur semble même plus fragile que la génération précédente, dommage…

Les vraies nouveautés se trouvent dans les entrailles de la bestiole : nouveau processeur, nouveau  SSD, autonomie à la hausse.

La fournée 2012 s’équipe de la troisième génération de l’architecture Intel Core baptisée du doux nom d’Ivy Bridge. Les nouveautés de cette génération de plateforme : une gravure plus fine à 22nm, une puce graphique HD4000 annoncée comme 2 fois plus rapide que la précédente HD3000 décevante et, last but not least, l’USB 3. En effet, ce connecteur nouvelle génération commence à s’implanter et à se répandre chez les constructeurs mais c’est une nouveauté inédite dans le monde d’Apple. Autre évolution plus anecdotique : le design des ventilateurs internes du MacBook Air ont été ré-étudiés, à l’image du MacBook Pro Retina, afin de permettre un refroidissement optimal et une réduction du niveau sonore. En comparaison avec mon « ancien » MacBook Air de 2010, en cas de très fortes sollicitations du processeur (et donc du système de ventilation associé), le bruit dégagé par les ventilateurs est moins aigu, moins strident et plus aisément supportable. Un détail qui a tout de même valu un travail poussé de la part des ingénieurs d’Apple. On apprécie.

Petite cerise sur le gâteau : Apple permet d’opter pour une option à 8Go de RAM sur sa dernière gamme de MacBook Air, appréciable pour voir venir les choses quand on connait le manque d’évolutivité sur ce type de machine.

Pour ma part, j’ai craqué pour le modèle suivant :

  • Core i5 (3427U) cadencé à 1,8 GHz
  • 8 Go de RAM (4Go de base, option à 100€ pour passer à 8Go)
  • Ecran 1 440 x 900
  • 256 Go de SSD. Je n’ai pas osé l’option SSD 512 Go qui ajoute 500€. Ça fait mal…
  • Puce graphique Intel HD 4000 à 350 MHz (ou 1,05 GHz en pointe).
  • 2 ports USB 3 (rétrocompatibles avec l’USB 2)
  • 1 port Thunderbolt (qui fait office de sortie vidéo HD également)
  • 1 lecteur de cartes SD
  • 1 webcam FaceTime HD 720p
  • 1 microphone sur la gauche, 2 haut-parleurs stéréo et une sortie casque
Quelles différences avec la gamme 2010 ?

Utilisateur de MacBook depuis 2006, j’ai changé de machine quatre fois en sept ans, en faisant un gain de puissance assez impressionnant à chaque fois. Processeurs plus puissants, performances graphiques à la hausse, toujours plus de RAM, accès disque plus rapide, etc. ces évolutions successives m’ont permises de rester dans la course dans l’utilisation de mes logiciels photo toujours plus gourmants (Adobe Lightroom et Photoshop) et de mes sessions de jeux occasionnelles. Le passage du MacBook Air 2010 au MacBook Air 2012 ne déroge pas à la règle et apporte son lot de nouveautés donnant un peu de fraîcheur et de confort à l’utilisation de mon portable :

  • Passage d’un vieillissant Core 2 Duo Penryn 2,0 Ghz au nouveau Core i5 Ivy Bridge 1,8 Ghz. Pour les novices, rappelons que ce processeur est un dual core mais est capable de simuler quatre coeurs « logiques » grâce à l’Hyperthreading. De plus,  le Turbo Boost est capable d’une fréquence ponctuelle de 2,8 GHz sur un seul coeur.
  • Passage de 4 Go de RAM DDR3 à 8 Go
  • Passage d’une carte graphique nVidia 320M à une puce graphique intégré Intel HD4000
  • Adoption de la norme USB3
  • Passage d’une webcam VGA à une résolution 720p
  • Enfin, adoption du clavier rétro éclairé!

En effet, sur ce dernier point, Apple avait fait preuve d’une fourberie incompréhensible (comme ils savent si bien faire) : les MacBook Air ont, depuis le lancement en 2008, revendiqués la présence d’un clavier rétro éclairé offrant un confort de frappe même dans la pénombre… A l’exception de la génération 2010, au moment de l’introduction du nouveau chassis Unibody où Steve Jobs a décidé de passer à la trappe cet atout indéniable.

Performances au rendez vous

Le Macbook Air 2012 n’échappe pas à la règle et le gain de puissance par rapport aux générations précédentes est largement marqué : les tests sont GeekBench montre que l’Intel Core i5 à 1,8 GHz est 6% plus véloce que le MacBook Air haut de gamme de 2011 équipé pourtant d’un Core i7 à 1,8 GHz aussi. Face à un MacBook Pro 13 pouces de 2011 sous sa configuration Core i5 mais avec une fréquence de 2,3 GHz, le nouveau MacBook Air reste 2.5% plus rapide !

C’est sur les performances graphiques où les gains sont les plus notables. Là où la puce intégrée Intel HD3000 équipant la génération 2011 avait déçu et présentait une régression par rapport à la gamme 2010 équipée d’une carte nVidia 320M, la nouvelle puce graphique Intel HD4000 fait faire un bond de performance de 55% par rapport à la gamme HD3000 sur les calculs Open GL et près de 1700 points de plus (5900 VS 4200 pts) sur 3DMark06. Le MacBook Air n’est pas encore la machine de jeu ultime mais il saura vous accompagner même sur les titres récents pour peu que vous ne soyez pas trop gourmands sur les détails et textures. Pour ma part, Diablo 3 tourne comme une horloge avec des détails moyens là où le Macbook air 2010 réclamait un niveau de détail minimal pour offrir une fluidité jouable.

Concernant les applications usuelles, les tests sont unanimes également, cette cuvée 2012 est devant sur tous les points : Aperture est ainsi 12,5% plus rapide, iMovie l’est de 10%, Handbrake a encodé 11% plus vite, Photoshop CS5 a fait 37,5% de mieux que la génération 2011.

Plus que jamais, nous pouvons affirmer haut et fort que ce MacBook Air pourra aisément servir de machine principale (à condition de ne pas être un hardcore gamer) en vous épargnant l’achat d’un ordinateur de bureau. Relié à un écran externe et à un clavier lorsque vous êtes à la maison, ce MacBook Air est tout bonnement impressionnant de puissance !

Grande nouveauté dans le monde Apple : l’introduction pour la toute première fois de la technologie USB 3 sur des produits de la marque pommée. L’arrivée de cette nouvelle norme USB est largement due à Intel qui a décidé d’intégrer l’USB 3 en standard à sa nouvelle plateforme Ivy Bridge. Par effet rebond, les MacBook basés sur cette plateforme en hérite, pour notre plaisir à tous. Pour tester ce nouveau connecteur, j’ai investi dans une clé USB 3 de 32 Go de la marque MemUp et fait quelques copies de fichiers (un lot de petits fichiers puis un gros fichier de 4Go) en comparant avec mon ancienne clé USB 2 Sony de 16 Go. Bilan : les transferts via USB 3 sont en moyenne 2 à 3 fois plus rapide que ceux effectués via USB 2. En matière de débits, j’ai relevé les mesures suivants :

  • Clé Sony USB 2 – Débit moyen écriture : 15 MB/sec / Débit moyen lecture : 20 MB/sec
  • Clé MemUp USB 3 – Débit moyen écriture : 20 MB/sec / Débit moyen lecture : 70 MB/sec

Attention donc aux promesses des constructeurs qui crient haut et fort des débits jusqu’à 10 fois supérieur en USB 3 par rapport à l’USB 2. Le rapport de différence est plutôt de l’ordre de 2 à 3, ce qui nous semble déjà largement appréciable.

Autonomie à la hausse, température 

Apple nous a promis une belle autonomie sur cette nouvelle gamme de MacBook Air, allant jusqu’à 7h sans besoin de fil à la patte. Un pari difficile quand on voit le gain de performances constaté juste au dessus. D’après nos tests, Apple tient ses engagements et la bestiole ne nous abandonne pas avant sept bonnes heures en utilisation bureautique normale à modérée (luminosité moyenne, rétroéclairage du clavier désactivée, surf sur internet en WIFI en évitant de traîner trop sur des sites gourmands pleins de flash/vidéos, un peu de bureautique Word/PowerPoint).

Pour les mordus de vidéos et de films HD, le MacBook Air vous permettra tout de même d’absorber près de 5h30 de films HD (encodé en mkv 1080p, luminosité moyenne, lecture via VLC) avant de rendre son dernier souffle. C’est près d’une heure et demi de plus que ses grands frères 2010 et 2011 !

Petit plus appréciable : nous n’avons jamais entendu le ventilateur se déclencher autrement que lors du lancement d’un jeu ou du traitement d’un lot important de photos RAW.

Le MacBook Pro a son Retina, et moi, et moi, et moi ?

Côté écran, bien qu’Apple nous ai présenté le sublime écran Retina qui équipera désormais le haut de gamme des MacBook Pro, le MacBook Air ne bénéficie d’aucun changement et hérite directement de l’écran glossy des générations précédentes. Quand bien même ce dernier est excellent aussi bien en terme de luminosité que de colorimétrie face à la flopée d’ordinateurs portables du marché, la vieillissante technologie TN ne fait plus le poids là où les concurrents du MacBook Air implémentent des écrans IPS avec une résolution Full HD (comme Asus avec ses UX). Ainsi, l’écran apparait clairement comme le point faible de cette nouvelle gamme de MacBook Air quasi-parfaite.

Bilan : craquer, pas craquer ?

Je vais essayer d’être le plus rationnel et logique possible dans ce bilan en le présentant sous forme d’un algorithme de décision (geek inside).

  • Suis-je prêt à acheter Apple ou resterais-je à jamais PC dans l’âme ? Réponse 1 voir suite, sinon passez votre chemin.
  • Suis-je mobile ou plutôt sédentaire et pantouflard ? Réponse 1 voir suite, sinon passez votre chemin.
  • Le critère « poids » est-il déterminant pour moi ? Si oui voir suite, sinon passez votre chemin.
  • Le critère « puissance » est-il déterminant pour moi ? Si oui voir suite, sinon jetez un oeil aux bonnes occaz’ sur le refurb pour récupérer un MacBook Air reconditionné de la gamme précédente
  • Ai-je déjà un MacBook Pro / Air des gammes précédentes ? Si oui voir suite, si non FONCEZ !!!!
  • Ai-je envie de me faire plaisir ? Si oui, FONCEZ !!!! Si non, essayez peut-être ceci…

Japan Expo / Comic Con’ 2012 à Paris

japan-expo-logo-200x300Bien que la fusion des deux conventions ait été consommée depuis des années, je n’avais jamais eu l’occasion de mettre les pieds ni à la Japan Expo, ni à la Comic Con’ jusqu’à hier encore.

C’est donc lors de la première journée de cette édition 2012, ouverte du 5 au 8 juillet 2012 au Parc des Expositions Paris-nord, que j’ai décidé de franchir le pas afin de découvrir ce phénomène qui déplace tant les foules.

Récit d’un visiteur novice dans la suite de l’article.

Le ton est donné dès lors où nous décidons de nous rendre au Parc des Expositions en transport en commun : le quai du RER B qui dessert le Parc de Villepinte fourmille déjà d’énergumènes semblant sortir tout droit des mangas japonais. Petites écolières en jupe courte, fillettes aux cheveux fluo ou encore quelques bonhommes aux déguisements home made des chevaliers du Zodiaque ultra sophistiqué sur le dos, chacun y va de son costume afin de ne pas passer inaperçu une fois sur place. En effet, lors de la Japan Expo, de nombreux concours  de Cosplay (raccourci de « costume » et « playing ») sont organisés par les exposants afin de réunir et récompenser les meilleurs déguisements présents.

Une fois sur place, l’entrée de la convention est parsemée de longues et interminables files d’attentes qui serpentent sur des kilomètres. Par chance, le premier jour de la convention ne semble pas trop surchargé et le hangar qui sert de salle de torture file d’attente se traverse d’une traite. J’envoie d’avance une petite pensée à ceux qui la subiront samedi aux heures de pointes…

Une fois à l’intérieur, les cosplayeurs se font légion et seuls les déguisements les plus sophistiqués sortent du lot pour le plus grand plaisir des photographes qui n’hésitent pas à les interpeler le temps d’une prise. Équipé de mon appareil réflex, je m’en suis également donné à coeur joie afin de capturer en image quelques belles créatures. Et comme je suis généreux, je partage avec vous

 

L’organisation de la Japan Expo est très segmentée, chaque secteur regroupe vraiment un type d’animation :

  • merchandising
  • éditeurs de manga/BD
  • jeux vidéo
  • animes
  • coin créateurs et jeunes talents
  • espace animations et cosplay
Quant à la Comic Con’, bien qu’étant collé à la Japan Expo, l’organisation semble plus brouillon et préfère laisser le visiteur se perdre dans les allées. Espace Nintendo avec bornes de jeux Mario Bros 2 sur 3DS, Dead or Alive 5 sur XBox, Dance Dance Revolution, Naruto Ultimate Ninja SG, … au final, on se croirait davantage à la Paris Games Week qu’à une convention orientée « Comics ». L’arène de catch et l’espace Roller présents non loin de là n’aident pas à redresser la barre. Mis à part cela, on retrouve toujours les éternels marchands de goodies et autres joyeusetés prêts à récupérer vos euros sonnants et trébuchants.
Pour cette première en la matière, étant totalement newbie des conventions de ce type, j’ai d’abord été très surpris par le nombre d’exposants professionnels proposant uniquement leurs articles à l’achat, sans réelle animation dédiée à la Japan Expo. Au fil des couloirs, mon impression n’a fait que se renforcer, on a vite l’impression de se retrouver au beau milieu d’un supermarché géant avec des articles plus ou moins liés au Japon :
  • gâteaux, bonbons et autres denrées alimentaires normalement disponibles qu’au Japon
  • sac, bonnets, t-shirts bariolées de couleur flashy et au motif de dessins animées
  • figurines, portes clés et autres joyeux goodies
  • j’en passe et des meilleurs
On regrettera le manque d’imagination et d’effort de la part de beaucoup d’exposants pour proposer un petit « plus » afin de se différencier. En effet, la plupart des exposants tiennent également une boutique en ligne ou un magasin qui a pignon sur rue, il n’y a donc que peu de bénéfice à préférer l’achat sur le stand lors de la Japan Expo que par la voie traditionnelle, la foule en moins. Quelques éditeurs et marchands jouent le jeu en éditant une série limitée exclusive à la Japan Expo / Comic Con ou offrent quelques cadeaux goodies avec tout achat. Dans l’ensemble, l’impression d’avoir payé une entrée afin d’avoir le droit d’acheter et de dépenser à nouveau reste toujours présente. Dommage.
Heureusement, quelques scènes et espaces d’animations sont présentes afin de divertir les visiteurs venus pour faire autre chose que leur shopping. Combat de sumos, arènes de troll ball, espaces de présentation de nouveaux jeux vidéos (dont Nintendo et Square Enix), initiation aux arts martiaux, cours de dessins, etc. parsèment les allées afin de proposer autre chose que du merchandising. Je dédie mon coup de coeur à l’espace Lego tenu par l’association FreeLUG où de nombreuses mises en scène extrêmement bien reproduites ont été installées. J’admire leur travail de réalisation qui a du prendre des heures de boulot, bravo !
Au final, je retiendrais l’ambiance bon enfant de la convention où l’insolite se mêle avec la bonne humeur des cosplayeurs. Malgré la chaleur, la foule et l’agitation, l’ambiance est décontractée et on se promène dans les allées sans trop de chahuts. Les boutiques des éditeurs sont quasiment toutes ouvertes sans portique de sécurité alors que des montagnes de livres sont à la portée de main de tout le monde sans passage obligatoire par la caisse… Soit nous sommes effectivement au pays de Candy et les vols sont inexistants ou alors j’ai l’esprit malsain.
Je regretterais juste un peu la tournure un peu trop « commerciale » adoptée par la Japan Expo aux fils des années et l’absence de véritable identité « comics » côté Comic Con.

 

PS 1 : Retrouvez plus de photos de la Japan Expo (notamment des mises en scène Lego) sur mon espace Flickr : http://www.flickr.com/photos/onlyrider/

 

PS 2: Terminons par une minute geek
Bien évidemment, avec tous ces marchands glanant leurs tentations sous votre nez, surhumain est celui qui ressortira de la convention les mains vides. Je ne suis qu’un homme, geek et faible qui plus est.
Fan de Batman depuis mon premier jour, je n’ai pu résister à l’achat coup de coeur suivant :
Le Batarang de Batman Arkham Asylum en aluminium anodisé avec son support de présentation et sa plaque signalétique métal. Totalement inutile certes… mais complètement indispensable !
Chaque pièce est fabriquée par RBReplicas grâce à une machine de découpage laser haute précision et un usinage de qualité. Je le reconnais, ce n’est absolument pas l’achat le plus raisonnable de mon existence mais on ne vit qu’une fois